jeudi, décembre 08, 2005

jeudi 8 décembre

… Bien loin des virtuoses brillants et vides comme des baudruches, Marc Perrone ! L’accordéon sera humaniste ou ne sera pas !
Pour commencer la journée, Voyages.
- Esperanza, tertulia, tapas y toros.
- Locaccmaccam, la rencontre nécessaire d’une locomotive, d’un accordéon, d’une machine à coudre et d’une caméra. « Des trains, j’en prends souvent. La place que j’affectionne le plus se niche dans les soufflets… », Marc Perrone.
- La valse de Beauregard : Monsieur Beauregard, syndicaliste, représentant de tous ces ouvriers « à qui on a fait dépenser leur vie à la gagner », Marc Perrone.

Voyages, générique de fin :
… « A tous ceux qui sont venus s’installer en France, d’où qu’ils viennent, à tous ceux qui ont su les accueillir, à ceux qui arrivent, à ceux qui arriveront, à ceux qui les accueillent, à ceux qui sauront les accueillir.
A l’Ecole Publique et Laïque où l’on ne peut faire autrement que de voir et d’entendre l’autre et inventer ensemble une vie nouvelle », Marc Perrone.

- L’échappée belle, 2.42, Son éphémère passion, 2004.

1 Comments:

Blogger françou said...

Merci à Perrone, pour "le train qui roule la vie s'écoule"... et pour l'école de la répuplique dont les pauvres hussards ont tant besoin d'être parfois reconnus...par une chanson mélodique.

7:06 PM  

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