vendredi 3 février
Hier matin, j’ai acheté le numéro 50 d’Accordéon et accordéonistes au point presse de l’hypermarché Leclerc. C’est vraiment un très bon numéro. D’abord, j’apprends que la « Tête d’affiche » du mois de mars sera Marc Perrone. Je l’attends déjà avec impatience. Ce mois-ci, la revue fait sa « Tête d’affiche » sur Jo Privat et Didier Roussin. Les deux portraits en couverture sont particulièrement réussis : Didier Roussin, le regard amusé sur le monde, avec une coiffure et une moustache de flibustier ; Jo Privat, le regard attentif, mine de rien, et plein de vivacité malgré la fatigue d’innombrables nuits sans sommeil. Illustrateur : Marc Taraskoff d’après des photos de Véronique Guillien. Tout dans l’article est réussi : la mosaïque de témoignages qui font mouche à tout coup. Les photographies qui ont toutes une grande force d’évocation. La photographie de sur-titre est émouvante, celle de la page 18 exprime mieux que de longs discours la complicité de Didier Roussin, de Jo Privat et de Jean Corti. « La dernière avec Jo » est une sorte de fil rouge, le texte est plein de saveur et de gouaille. On sent bien à quels développements pourrait donner lieu la mosaïque de témoignages. Par exemple, que veut dire Franck Bergerot quand il dit que sa collaboration avec Jo Privat sur « Paris Musette » fut un échec, une longue suite de malentendus ? Et surtout lorsqu’il ajoute que cet échec le préoccupe encore. De même, on voudrait que Daniel Colin nous raconte encore d’autres souvenirs, par exemple à propos de ce qu’il appelle un sacré quartet. Bref, une excellente « Tête d’affiche ».
Je cherche en vain à commander sur internet les disques suivants :
- Daniel Colin, Quel temps fait-il à Paris ?
- Daniel Colin, Jazz Expérience
- Emy Dragoï, La ballade de Claudia
- Ferro Gaita, Rei di Funana
- Joe Rossi et Hiroko Ito, Accordéon en couleur
- Richard Galliano, Concerts inédits
- Pascal Contet et J. Léantre, Grave
Ou bien, ça n’est plus référencé, ou c’est provisoirement indisponible, mais le fait est que je n’arrive pas à me les procurer. Je le regrette d’autant plus que j’avais pu les écouter, du moins quelques titres, à la médiathèque de Tulle, début janvier. J’ai téléphoné à l’éditeur ILD au sujet de Daniel Colin. Réponse évasive : «… peut-être d’ici quelques mots ». Autant dire qu’aucune nouvelle édition n’est programmée. Je rêve qu’un revue comme Accordéon et accordéonistes puisse servir de relais pour inciter les éditeurs à commercialiser les « indispensables ».
Finalement, j’ai commandé sur Alapage le dernier disque de Maria Kalaniemi, dont j’apprécie beaucoup Ahma. Déjà, sur la couverture, son accordéon Lasse Pihlajamaa me parait impressionnant de sobriété, de puissance et de technicité.
Hier soir, à 20h30, au Palais Beaumont, nous sommes allés écouter le Quatuor Talich et Inger Södergren. Parterre K6 et K8.
- W. A. Mozart, Quatuor K 156 en sol majeur
- L. Van Beethoven, Quatuor op. 18 n°3 en ré majeur
- R. Schumann, Quintette avec piano op. 44 en mi b majeur
Excellent moment ! Nous avons particulièrement apprécié le quintette. Françoise a croisé son dentiste ; moi-même j’ai bavardé quelques minutes avec un ancien collègue. On a un peu parlé métier. A la sortie, le responsable de la boutique « Harmonia Mundi » de Tarbes avait installé un stand. Nous nous sommes salués cordialement. Depuis le bar du palais Beaumont, où nous avons bu une dernière bière, Mosbräu (je ne connaissais pas !), légère et assez fruitée, nous avons pu voir que les clients étaient nombreux autour des disques présentés. Signe sans doute du succès du concert. En quittant le palais Beaumont, nous avons croisé les musiciens qui attendaient un taxi. « Bonsoir ! »
Je cherche en vain à commander sur internet les disques suivants :
- Daniel Colin, Quel temps fait-il à Paris ?
- Daniel Colin, Jazz Expérience
- Emy Dragoï, La ballade de Claudia
- Ferro Gaita, Rei di Funana
- Joe Rossi et Hiroko Ito, Accordéon en couleur
- Richard Galliano, Concerts inédits
- Pascal Contet et J. Léantre, Grave
Ou bien, ça n’est plus référencé, ou c’est provisoirement indisponible, mais le fait est que je n’arrive pas à me les procurer. Je le regrette d’autant plus que j’avais pu les écouter, du moins quelques titres, à la médiathèque de Tulle, début janvier. J’ai téléphoné à l’éditeur ILD au sujet de Daniel Colin. Réponse évasive : «… peut-être d’ici quelques mots ». Autant dire qu’aucune nouvelle édition n’est programmée. Je rêve qu’un revue comme Accordéon et accordéonistes puisse servir de relais pour inciter les éditeurs à commercialiser les « indispensables ».
Finalement, j’ai commandé sur Alapage le dernier disque de Maria Kalaniemi, dont j’apprécie beaucoup Ahma. Déjà, sur la couverture, son accordéon Lasse Pihlajamaa me parait impressionnant de sobriété, de puissance et de technicité.
Hier soir, à 20h30, au Palais Beaumont, nous sommes allés écouter le Quatuor Talich et Inger Södergren. Parterre K6 et K8.
- W. A. Mozart, Quatuor K 156 en sol majeur
- L. Van Beethoven, Quatuor op. 18 n°3 en ré majeur
- R. Schumann, Quintette avec piano op. 44 en mi b majeur
Excellent moment ! Nous avons particulièrement apprécié le quintette. Françoise a croisé son dentiste ; moi-même j’ai bavardé quelques minutes avec un ancien collègue. On a un peu parlé métier. A la sortie, le responsable de la boutique « Harmonia Mundi » de Tarbes avait installé un stand. Nous nous sommes salués cordialement. Depuis le bar du palais Beaumont, où nous avons bu une dernière bière, Mosbräu (je ne connaissais pas !), légère et assez fruitée, nous avons pu voir que les clients étaient nombreux autour des disques présentés. Signe sans doute du succès du concert. En quittant le palais Beaumont, nous avons croisé les musiciens qui attendaient un taxi. « Bonsoir ! »
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