mercredi 25 janvier
Hier, en remettant à sa place le disque de Cholo Montironi, je me suis rappelé une autre interprétation de La Casita de mis Viejos dans le disque Tango Futur, Paris – Buenos Aires. Je n’ai guère le goût des comparaisons à la recherche de préférences, encore moins le goût des classements ; en revanche, j’ai toujours plaisir à passer alternativement et sans délai deux interprétations d’une oeuvre, voire plus, pour en saisir peu à peu intuitivement les qualités propres, les différences et les saveurs particulières. C’est ce que je viens de faire avec ces deux versions :
- la version solo de Cholo Montironi, in Una Voz de Bandonéon, 3:33
- la version de S. Moncayo (mezzo-soprano), C. Delangle, alto saxo, O. Catelin-Delangle, piano, M. Bonnay, bandonéon et E. Chalan, double bas, in Tango Futur, Paris – Buenos Aires, 3:52
Evidemment, la pratique est risquée… car à chaque écoute, un trait apparaît qui alimente le désir de le retrouver et d’en découvrir de nouveaux, encore insoupçonnés. Mais c’est aussi une manière de suspendre le temps dans la parenthèse de ces écoutes en boucles.
- la version solo de Cholo Montironi, in Una Voz de Bandonéon, 3:33
- la version de S. Moncayo (mezzo-soprano), C. Delangle, alto saxo, O. Catelin-Delangle, piano, M. Bonnay, bandonéon et E. Chalan, double bas, in Tango Futur, Paris – Buenos Aires, 3:52
Evidemment, la pratique est risquée… car à chaque écoute, un trait apparaît qui alimente le désir de le retrouver et d’en découvrir de nouveaux, encore insoupçonnés. Mais c’est aussi une manière de suspendre le temps dans la parenthèse de ces écoutes en boucles.
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