lundi, janvier 16, 2006

lundi 16 janvier

Après quelques essais infructueux d’écoute d’accordéons classiques (j’ai bien conscience que mon inculture musicale m’interdit d’apprécier la beauté d’un grand nombre d’œuvres et d’interprétations, même si je m’efforce d’y remédier), après quelques essais infructueux (mais je ne citerai ici aucun nom, car c’est de mon goût qu’il s’agit), après quelques essais et autres tâtonnements (sans doute mon humeur y est-elle aussi pour quelque chose), donc après quelques tâtonnements sans succès, j’y viens, je choisis un disque de Guy Klucevsk : « The Well-Tampered Accordion ».

Un livret comme sait les faire Winter & Winter. Couverture verte, lettrage or ; intérieur : photos et titres fléchés, dans les tons gris et sépia.

Vingt-sept titres pour un total de 57 :07. Le plus long : 3:28 ; le plus court : 0:35. Plusieurs morceaux inférieurs à la minute. Une suite de courtes pièces, comme les rouages d’un oignon suisse ! Une impression d’équilibre nécessaire : on ne pourrait rien bouger sans le rompre.

Une heure instantanée…