mardi 13 novembre - barbara
- « Barbara. Le temps du lilas ».4 cds, livret illustré 64 pages. 2007, Le Chant du Monde, 2007, INA Made in Austria. Collection « Les greniers de la mémoire », INA – France Musique.
- livret : " Le temps du lilas »
- cd1 : « Une femme qui chante »
- cd2 : « A la radio »
- cd3 : « Scènes inédites »
- cd4 : « Carpentras 1973"
Ce coffret est un véritable trésor. La documentation écrite et photographique est remarquable. Et que dire des disques ? Rien, simplement les écouter. Une poésie à fleur de peau. Déchirante. Et la voix de Barbara. Fragile et inaltérable à la fois. En prime, plusieurs morceaux des années 1965-1966 où elle est accompagnée par Pierre Nicolas à la contrebasse et Joss Baselli à l’accordéon. Quel accompagnement ! La présence de Baselli est d'une rare intelligence. Autre prime, le concert de Carpentras du 17 juillet 1973 avec Roland Romanelli à l’accordéon électronique. Là aussi, quel accompagnement.
Comme nous écoutions plusieurs morceaux de ces disques, Françoise a eu l’idée que nous devions avoir rangé quelque part le dernier disque de Barbara… Mais où ? Finalement, nous l’avons retrouvé :
- « Barbara »,1996 Mercury France, Philips 534269-2
Nous avions rangé ce disque sur une étagère peu accessible. En l’écoutant à nouveau, nous avons compris pourquoi. Le désespoir sans fond. La voix de Barbara est déjà brisée. Elle n’en est que plus émouvante, mais quelle tristesse. Comme elle le disait vingt ans plus tôt dans une émission de radio : la vie, l’amour, oui… mais on va de toute façon vers la mort. Avec ce disque, la mort est là. Nous avons retrouvé Galliano à l’accompagnement et Lockwood et Jean-Louis Aubert et Eddy Louiss et Jean-Jacques Milteau et bien d’autres.
Du coup nous écoutons « Barbara » de Galliano dans la version « Luz Negra ».Et le plaisir continue...
- livret : " Le temps du lilas »
- cd1 : « Une femme qui chante »
- cd2 : « A la radio »
- cd3 : « Scènes inédites »
- cd4 : « Carpentras 1973"
Ce coffret est un véritable trésor. La documentation écrite et photographique est remarquable. Et que dire des disques ? Rien, simplement les écouter. Une poésie à fleur de peau. Déchirante. Et la voix de Barbara. Fragile et inaltérable à la fois. En prime, plusieurs morceaux des années 1965-1966 où elle est accompagnée par Pierre Nicolas à la contrebasse et Joss Baselli à l’accordéon. Quel accompagnement ! La présence de Baselli est d'une rare intelligence. Autre prime, le concert de Carpentras du 17 juillet 1973 avec Roland Romanelli à l’accordéon électronique. Là aussi, quel accompagnement.
Comme nous écoutions plusieurs morceaux de ces disques, Françoise a eu l’idée que nous devions avoir rangé quelque part le dernier disque de Barbara… Mais où ? Finalement, nous l’avons retrouvé :
- « Barbara »,1996 Mercury France, Philips 534269-2
Nous avions rangé ce disque sur une étagère peu accessible. En l’écoutant à nouveau, nous avons compris pourquoi. Le désespoir sans fond. La voix de Barbara est déjà brisée. Elle n’en est que plus émouvante, mais quelle tristesse. Comme elle le disait vingt ans plus tôt dans une émission de radio : la vie, l’amour, oui… mais on va de toute façon vers la mort. Avec ce disque, la mort est là. Nous avons retrouvé Galliano à l’accompagnement et Lockwood et Jean-Louis Aubert et Eddy Louiss et Jean-Jacques Milteau et bien d’autres.
Du coup nous écoutons « Barbara » de Galliano dans la version « Luz Negra ».Et le plaisir continue...
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