jeudi 8 novembre - deux images

"L'hymne à l'amour". Une musique écrite. Lames et lames. Le volume de l'accordéon vs le vibraphone comme un fil tendu. Contrôle et tension. Frémissements. C'est l'automne qui donne ses couleurs aux interprétations. La douceur du miel. Une rigueur de géomètre ; on pense à Paul Valéry, à "Eupalinos" et à l'architecture.
De mémoire, nous nous rappelons (dans le désordre) "Heavy tango", "Milonga is coming", "Triunfal", "L'hymne...", "Sinfonia...", "Opération tango", "Waltz for Debby"...

"Tangaria". De l'énergie. Un arc électrique entre le violon et l'accordéon. C'est le printemps qui donne ses couleurs aux interprétations. L'acidité des oranges amères. Comme disait le poète, "la beauté sera convulsive ou ne sera pas".

De mémoire (dans le désordre), nous nous rappelons "Tangaria", "Luz Negra", "Chat pître", "Fou rire", "Gnossienne 3", "Indifférence", "Barbara", "Sertao", etc...

Et bien sûr, "Tango pour Claude" et "Historia de un Amor".