lundi 5 novembre
Hier après-midi, j’ai profité de mon « pèlerinage dominical » à Nay, à 20 kilomètres de Pau, pour écouter encore «Fleurs noires ». L’ensemble de l’album continue à m’enchanter car d’écoute en écoute j’y trouve chaque fois de nouvelles qualités. Ici le piano, là le violon solo, là encore les percussions, etc… Peu à peu cependant des préférences émergent : « Disonante » (3 :07), morceau composé par Julian Plaza et « Milonga del Immigrante » (3 :00) de Victor Parma. Sans oublier le premier titre, « Sombras » (4 :25), musique de Victor Parma, paroles d’Omar Marsili. J’avoue qu’aucun de ces compositeurs n’était connu de moi jusqu’à ce disque. C’est pourquoi d’ailleurs, parmi les regrets que je peux avoir concernant le fascicule de présentation de l’album, il y a celui-ci, l’absence d’informations sur les compositeurs.
Mais je sens que ces préférences vont peut-être changer ou, comme cela m’arrive souvent, se multiplier au point de se confondre avec l’ensemble des titres. Je laisse faire, si j’ose dire, car le cas échéant cela signifie que l’album fait alors partie de mes albums d’élection.
Dernier point à signaler : je ne compte plus le nombre de fois où j’ai écouté le début de « Sombras » pour le plaisir d’entendre Débora Russ (chanteuse invitée) prononcer : « Buenos Aires»… et la suite bien sûr.
...
Une rapide exploration sur le web m'a permis d'en savoir plus sur Victor Parma et je compte bien approfondir mes connaissances à son sujet dès que possible :
http://www.victorparma.com.ar/
Une autre exploration m'a permis de me rtendre compte que, bien évidemment, j'avais déjà rencontré maintes fois des oeuvres de Julian Plaza, mais je l'avais oublié ou du moins je n'avais pas pensé à lui étant persuadé que toutes les oeuvres de l'album étaient des créations originales :
http://www.todotango.com/Spanish/creadores/jplaza.html
Mais je sens que ces préférences vont peut-être changer ou, comme cela m’arrive souvent, se multiplier au point de se confondre avec l’ensemble des titres. Je laisse faire, si j’ose dire, car le cas échéant cela signifie que l’album fait alors partie de mes albums d’élection.
Dernier point à signaler : je ne compte plus le nombre de fois où j’ai écouté le début de « Sombras » pour le plaisir d’entendre Débora Russ (chanteuse invitée) prononcer : « Buenos Aires»… et la suite bien sûr.
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Une rapide exploration sur le web m'a permis d'en savoir plus sur Victor Parma et je compte bien approfondir mes connaissances à son sujet dès que possible :
http://www.victorparma.com.ar/
Une autre exploration m'a permis de me rtendre compte que, bien évidemment, j'avais déjà rencontré maintes fois des oeuvres de Julian Plaza, mais je l'avais oublié ou du moins je n'avais pas pensé à lui étant persuadé que toutes les oeuvres de l'album étaient des créations originales :
http://www.todotango.com/Spanish/creadores/jplaza.html
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