jeudi, novembre 29, 2007

samedi 1er décembre - photonotes roberto de gennevilliers





Le programme du concert comme l'ensemble de l'information qui l'entoure est impeccable. L'essentiel est dit en un minimum de mots. De la même manière, que ce soit dimanche ou aujourd'hui, Philippe de Ezcurra a toujours "cadré" les pièces que l'on allait entendre et c'est très agréable. Je ne comprends toujours pas pourquoi la plupart du temps les musiciens, accordéonistes en particulier, jouent sans donner les titres des oeuvres qu'ils interpètent. Pensent-ils que leur public est assez averti pour n'avoir pas besoin ne serait-ce que d'un rappel... Est-ce un oubli ? un acte manqué ?



Les jeunes élèves de la classe d'accordéon. Quelle émotion ! Quelle tension !



Vue de la scène. Même si elle est peu lisible, la photographie donne une idée juste des postures respectives de Philippe de Ezcurra et de Roberto de Brasov : celui-ci face au public, avec son clavier de touches piano énorme, celui-là un peu de biais, tourné vers son partenaire, plein d'attention et plein.



Toujours aussi déficiente quant à la qualité, cette photographie décrit bien la relation complice entre les deux partenaires. De Ezcurra droit comme un I et cependant fluide, Roberto de Brasov embrassant son instrument tout en jetant un oeil plein de malice vers son complice.


L'un regarde l'autre qui regarde l'un...