jeudi, novembre 02, 2006

vendredi 3 novembre

… reçu cet après-midi, un courriel d’Anne-Marie B., qui nous fait part de la programmation envisagée pour le festival de deux à trois jours, autour du 19 mai, à Trentels. Par discrétion, il n’est bien sûr pas question d’en dévoiler quelque information que ce soit. Mais on peut dire cependant que, Françoise et moi, nous avons déjà retenu la semaine correspondante sur notre agenda. La rencontre, en mai, sur une scène agreste de l’éclectisme et de la qualité, c’est la promesse de moments de plaisir !

… acheté ce matin au point presse de l’hypermarché le numéro 58 (novembre 2006) de la revue « Accordéon et accordéonistes ». Interviewes de Sanseverino et de Cravic : points de vue intéressants sur l’apport de l’accordéon de la part de musiciens qui ne le pratiquent pas, mais qui entretiennent avec cet instrument des liens particuliers. Un article relatif à l’histoire de l’accordéon sur Gus Viseur. Roland Manoury y défend l’idée qu’au fond s’il n’y avait qu’un génie de l’accordéon, ce serait lui, en ce sens que si l’on écrit l’histoire de cet instrument, il y a un avant et un après Gus Viseur. Même si une longue carrière lui est promise, ne pourrait-on d’ores et déjà en dire autant de Richard Galliano, sans pour autant faire de l’ombre à son prédécesseur ?

Six pages sont consacrées au compte-rendu de la 18e édition des « Nuits de nacre » de Tulle. Nous n’avions pas eu envie d’y aller, étant donné le thème choisi : « Quand la femme porte les bretelles »… Je trouvais a priori ce thème artificiel et réducteur. En tout cas, je continue à considérer que c’est un critère de choix peu pertinent quand il s’agit de choisir des artistes et des accordéonistes en particulier. J’ai lu le compte-rendu, mais je n’ai rien à en dire n’ayant pas assisté au festival.

Il y a, dans les critiques de disques, un papier sur « Veselina » de Martin Lubenov et Jazzta Prasta Band. Je me rappelle avoir noté, en d’autres temps, le plaisir que j’avais eu à le découvrir. On peut écouter des extraits de « Dui Droma » et de « Veselina » sur Alapage. Les sites de l’éditeur et de Martin Lubenov, lui-même, ne proposent pas d’extraits. Ce dernier n’est d’ailleurs pas à jour, puisqu’il ne donne, en discographie, que « Dui Droma ».