lundi 10 décembre - michel macias au "chèvrefeuille"

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Ce sera en effet une réussite. Le talent de Michel Macias, sa présence, l'ambiance chaleureuse, les participants enthousiastes (combien de rappels ? Quatre ? Cinq ?), tout cela a fait de ce concert un moment mémorable. Entre autres indices de la convivialité de Michel Macias, il suffira de citer cette attitude : en préambule du concert, il nous annonce qu'il a prévu deux parties, de telle sorte que la pause lui permette de mieux nous connaitre, car, comme il dit, s'il sent notre présence, il ne nous voit pas. Et, de fait, cette pause nous permettra de bavarder agréablement en évoquant des concerts passés et ses projets futurs.
Pour aujourd'hui, je m'en tiens au cadre ; dès demain, mais nous en discutons encore avec Françoise, j'évoquerai quelques faits et impressions du concert :
- comment Michel Macias a "théorisé" l'absence d'annonce des titres qu'il interprète,
- les deux faces de l'artiste : le poète inspiré versus le saltimbanque
- le Macias nouveau est arrivé
Bien entendu, j'essaierai de choisir quelques photographies, parmi la cinquantaine, que j'ai prises, mais ce sera difficile car l'unique projecteur découpait l'espace de la scène en lumière et ombre, comme un scalpel. Disons que la lumière crue claquait blanche sur le visage de Macias transfiguré ainsi en Pierrot lunaire. J'aimerais bien pourtant garder traces de quelques une de ses expressions caractéristiques.
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