mardi 6 juin
Petit trajet jusqu’à Tarbes pour affaires. Vers 17 heures, avant de rentrer sur Pau, petit détour par la boutique « Harmonia Mundi ». Comme d’habitude, je retrouve le responsable de la boutique avec beaucoup de plaisir. Je lui parle du festival de Trentels et je lui montre les photographies que j’ai faites et publiées sur mon blog. Il m’apprend l’existence du festival d’Anères, un festival de cinéma muet dans les Hautes-Pyrénées. « Cinéma muet & piano parlant ». Il a mis de côté pour moi deux disques : l’un d’accordéon, l’autre de tango avec du bandonéon intéressant sur quelques titres. Bien entendu, je lui fais confiance. J’achète les oreilles fermées, si j’ose dire.
De retour à Pau, détour utilitaire par l’hypermarché. Quelques achats… passage par l’Espace culturel pour acheter deux livres, pour Camille et pour Charlotte. Paquets cadeaux ! Coup d’œil sur les têtes de gondoles : là, sous mes yeux, un exemplaire de « Duo », le disque de Jean-François Rossi et Jérôme Richard. Comment résister à l’envie de l’écouter ?
Je récapitule :
- « Pauline Oliveros, The Roots Of The Moment », 2006 (2e édition) Hat Hut Records.
“Pauline Oliveros, accordion in just intonation in an interactive electronic environment created by Peter Ward”. Tout est dit ! Musique des espaces infinis et des mondes au-delà de notre univers… On hésite entre une musique de machines et une musique humaine. Parfois, mais en plus minimaliste, je pense à Anzellotti jouant John Cage.
- « Yo ! Silvana Deluigi », Enja, 2004.
Je retiens, outre la voix de Silvana Deluigi, la grande unité du disque, avec deux morceaux où j’apprécie particulièrement le bandonéon. Il s’agit de deux milongas : (9) Milonga for Threee et (15) Milonga en el Viento. Mais bien entendu, il ne s’agit pas de réduire l’ensemble du disque à ces deux seuls titres.
- « Duo, Jean-François Rossi & Jérôme Richard », Cinq Planètes, 2005.
L’accordéon est peut-être un peu trop « brillant » à mon goût, tant dans les sonorités que dans la virtuosité, mais l’ensemble me plaît bien, avec une préférence pour « Pondichéry Tango », pour « Valse à Joë » et pour « Vuelvo al Sur », ce qui n’est déjà pas si mal. En tout cas, l’accord des deux musiciens vaut la peine d’être écouté.
Mais l'écoute des trois disques en "sautant" de l'un à l'autre s'apparente un peu à la pratique du grand écart... Et pourquoi pas ?
De retour à Pau, détour utilitaire par l’hypermarché. Quelques achats… passage par l’Espace culturel pour acheter deux livres, pour Camille et pour Charlotte. Paquets cadeaux ! Coup d’œil sur les têtes de gondoles : là, sous mes yeux, un exemplaire de « Duo », le disque de Jean-François Rossi et Jérôme Richard. Comment résister à l’envie de l’écouter ?
Je récapitule :
- « Pauline Oliveros, The Roots Of The Moment », 2006 (2e édition) Hat Hut Records.
“Pauline Oliveros, accordion in just intonation in an interactive electronic environment created by Peter Ward”. Tout est dit ! Musique des espaces infinis et des mondes au-delà de notre univers… On hésite entre une musique de machines et une musique humaine. Parfois, mais en plus minimaliste, je pense à Anzellotti jouant John Cage.
- « Yo ! Silvana Deluigi », Enja, 2004.
Je retiens, outre la voix de Silvana Deluigi, la grande unité du disque, avec deux morceaux où j’apprécie particulièrement le bandonéon. Il s’agit de deux milongas : (9) Milonga for Threee et (15) Milonga en el Viento. Mais bien entendu, il ne s’agit pas de réduire l’ensemble du disque à ces deux seuls titres.
- « Duo, Jean-François Rossi & Jérôme Richard », Cinq Planètes, 2005.
L’accordéon est peut-être un peu trop « brillant » à mon goût, tant dans les sonorités que dans la virtuosité, mais l’ensemble me plaît bien, avec une préférence pour « Pondichéry Tango », pour « Valse à Joë » et pour « Vuelvo al Sur », ce qui n’est déjà pas si mal. En tout cas, l’accord des deux musiciens vaut la peine d’être écouté.
Mais l'écoute des trois disques en "sautant" de l'un à l'autre s'apparente un peu à la pratique du grand écart... Et pourquoi pas ?
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