samedi 3 juin
… lu très attentivement les entretiens du dernier numéro de la revue « Accordéon & accordéonistes », qui est un spécial jazz. Il y a beaucoup de choses intéressantes à en tirer, mais pour l’instant je retiens les trois points suivants :
- de l’ensemble des entretiens, une idée, me semble-t-il, se dégage, à savoir que le jazz est la musique jouée par des musiciens considérés comme des jazzmen, parce que la musique qu’ils jouent est considérée comme du jazz. C’est dire qu’il n’y a de jazz qu’en acte…
- dans son entretien, Daniel Mille explique qu’il a le plus grand respect pour tous ceux qui sont à ses yeux des jazzmen, car « ça demande tant de travail, c’est un véritable sacerdoce, un mode de vie, une manière d’être. Alors ce ne sont pas trois chorus dans un disque qui font de vous un jazzman, c’est bien autre chose ».
- quelques pages plus loin, Lionel Suarez dit qu’il a beaucoup écouté de guitaristes et de pianistes. « Je joue aussi du piano à côté, cela m’a peut-être permis de chercher ailleurs des exemples, ce qui est justement difficile avec l’accordéon puisqu’il manque de références. En revanche, ce manque offre aussi plus de possibilités musicales puisque la route est libre… pour l’accordéon, le champ rythmique est ouvert, il ne s’agit que de le développer ».
C’est tout pour aujourd’hui. Il faudra revenir sur les accordéonistes qui font références communes, qui sont en quelque sorte les repères et la tradition de l’accordéon en jazz.
- de l’ensemble des entretiens, une idée, me semble-t-il, se dégage, à savoir que le jazz est la musique jouée par des musiciens considérés comme des jazzmen, parce que la musique qu’ils jouent est considérée comme du jazz. C’est dire qu’il n’y a de jazz qu’en acte…
- dans son entretien, Daniel Mille explique qu’il a le plus grand respect pour tous ceux qui sont à ses yeux des jazzmen, car « ça demande tant de travail, c’est un véritable sacerdoce, un mode de vie, une manière d’être. Alors ce ne sont pas trois chorus dans un disque qui font de vous un jazzman, c’est bien autre chose ».
- quelques pages plus loin, Lionel Suarez dit qu’il a beaucoup écouté de guitaristes et de pianistes. « Je joue aussi du piano à côté, cela m’a peut-être permis de chercher ailleurs des exemples, ce qui est justement difficile avec l’accordéon puisqu’il manque de références. En revanche, ce manque offre aussi plus de possibilités musicales puisque la route est libre… pour l’accordéon, le champ rythmique est ouvert, il ne s’agit que de le développer ».
C’est tout pour aujourd’hui. Il faudra revenir sur les accordéonistes qui font références communes, qui sont en quelque sorte les repères et la tradition de l’accordéon en jazz.
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