jeudi, septembre 11, 2008

vendredi 12 septembre - cézame, ouvre-toi !

Dans le dernier numéro de la revue « Accordéon & accordéonistes », numéro 78 de septembre 2008, on peut lire un portrait de Frédéric Daverio, « magicien d’images sonores », pages 38-40. Son site : http://www.myspace.com/fdaverio

On peut lire aussi, page 41, un portrait de Frédéric Leibovitz, « carte blanche aux artistes ». Cet éditeur a créé une nouvelle collection, « carte blanche » dans le cadre de sa société Cézame Music Agency. C’est dans cette collection qu’il a édité « Silence… on tourne » de F. Daverio. Son site : http://www.cezame-fle.com/

Je viens d’explorer ce site. Je le trouve remarquable tant au point de vue esthétique que fonctionnel. Sans parler de l’originalité et de la créativité du projet. Un projet vraiment artistique, je veux dire au service de la création artistique sous des formes multiples.

Parmi les richesses que l’on y trouve, je retiens ces quelques éléments (mais il faut tout parcourir) :

- D’abord le plaisir de pouvoir écouter le dernier album de F. Daverio :

http://www.cezame-fle.com/liste_titres_album.php?id_album=219

- Ensuite, le plaisir de découvrir deux « albums virtuels », concept et réalisation qui valent le détour :

http://www.cezame-fle.com/lire_article.php?id_article=38

En fait, ce site de Cézame Music Agency m’a enthousiasmé et je pense que mon sentiment est bien fondé eu égard à la qualité des propositions qu’il offre.

On pourra écouter, par exemple, un morceau, accordéon et guitare, « Noix de Coco », de l’album « Jardins ».

http://www.cezame-fle.com/liste_titres_album.php?id_album=223#ancre6

Et bien d’autres choses… Je continue…

Les deux portraits de F. Daverio et F. Leibovitz sont de F. Jallot. Ils sont excellents. Forcément !


Post-scriptum : simple association d’idées… Je me demande encore avec une certaine perplexité pourquoi « Accordéon & accordéonistes » n’a pas de site web. Problème de logistique, problème technique, problème de conception et de réalisation ou choix éditorial et, si j’ose dire, politique ? Vu l’intérêt de la revue, on imagine facilement ce que serait celui d’un tel site.