mercredi 7 juin
- « Pauline Oliveros, The Roots Of The Moment », 2006 (2e édition) Hat Hut Records
… essayé d’écouter ce disque, d’une durée de 58:19. Je fais effort, mais décidément, je perçois cette musique comme le pur résultat d’un art conceptuel, c’est-à-dire d’un part pris artistique où les idées, les concepts, prennent le pas sur une expression vivante. Il me semble que l’aléatoire a remplacé à la fois la véritable improvisation, pleine de surprises et d’incertitudes, et l’écriture formelle qui ne laisse aucune marge de liberté à l’interprète. Dois-je le dire, mais je m’ennuie… je trouve ça long… interminable… sans saveur et sans vie. Mais je m’accroche… même si pour l’instant je reste sur le seuil de ce monde.
Malgré tout, il y a un intérêt à cette musique désincarnée, c’est sa froideur, bien appréciable en ces jours où le thermomètre affiche entre 32 et 34 sur la terrasse et où les soirées sont moites et orageuses.
… essayé d’écouter ce disque, d’une durée de 58:19. Je fais effort, mais décidément, je perçois cette musique comme le pur résultat d’un art conceptuel, c’est-à-dire d’un part pris artistique où les idées, les concepts, prennent le pas sur une expression vivante. Il me semble que l’aléatoire a remplacé à la fois la véritable improvisation, pleine de surprises et d’incertitudes, et l’écriture formelle qui ne laisse aucune marge de liberté à l’interprète. Dois-je le dire, mais je m’ennuie… je trouve ça long… interminable… sans saveur et sans vie. Mais je m’accroche… même si pour l’instant je reste sur le seuil de ce monde.
Malgré tout, il y a un intérêt à cette musique désincarnée, c’est sa froideur, bien appréciable en ces jours où le thermomètre affiche entre 32 et 34 sur la terrasse et où les soirées sont moites et orageuses.
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