dimanche 5 novembre
Hier, samedi, vers 10 heures, le facteur dépose deux enveloppes publicitaires et une grande enveloppe blanche, assez épaisse, dans la boite à lettres. C’est cette dernière qui m’intéresse. Je sens immédiatement sous mes doigts deux cds dans une protection de mousse. L’envoi de Jacques Pellarin me parvient beaucoup plus vite que je n’aurais osé l’espérer. Première bonne surprise.
La seconde bonne surprise, c’est la qualité des deux disques. Non que je doutais de celle-ci, mais parce qu’elle est supérieure à ce que j’attendais, en particulier quant à leur homogénéité :
- « Genesia », duo « Le Baïkal », Jean-Luc Brunetti et Jacques Pellarin
- « Sous d’autres jazzitudes », Jacques Pellarin.
Toute la journée, successivement, les deux cds vont tourner. Au fil des écoutes, nous avons commencé à faire des comparaisons, non pour établir quelque palmarès entre les morceaux, mais pour mieux en saisir leurs spécificités.
Du coup, sans attendre d’approfondir encore notre écoute, j’ai envoyé un courriel à Jacques Pellarin pour lui signifier et la bonne réception de son envoi et le plaisir que nous avions éprouvé en découvrant le contenu de celui-ci. En substance, je lui dis que nous sommes certes incapables d’analyser notre satisfaction en termes techniques, mais que celle-ci est une évidence sensible fort agréable. Je lui dis aussi que nous apprécions beaucoup ce que j’appellerais son classicisme, c’est-à-dire une économie de moyens extrême pour atteindre un maximum d’effets esthétiques. Il y a là une sorte de dimension morale de l’œuvre et de l’interprétation à laquelle, quand nous la percevons, nous sommes particulièrement sensibles. Je parlerais presque d’honnêteté. J’ajoute qu’il y a un certain nombre d’accordéonistes que nous appelons nos « fondamentaux », comme par exemple Galliano, Mille, Lassagne, Azzolla, Sopa, Colin, Privat, entre autres, et que de toute évidence lui-même, Jacques Pellarin, en fait d’ores et déjà partie. Cela tient à une présence, un style propre, une signature qui immédiatement entre en correspondance avec notre monde et avec ce qu’inconsciemment nous attendions.
Conséquence : à l’occasion de ce courriel, je demande à Jacques Pellarin de bien vouloir m’informer, dès que possible, de la sortie de son prochain opus prévue en janvier. Cette demande est, me semble-t-il, un indice sûr de notre plaisir.
Il y a des journées comme ça…
La seconde bonne surprise, c’est la qualité des deux disques. Non que je doutais de celle-ci, mais parce qu’elle est supérieure à ce que j’attendais, en particulier quant à leur homogénéité :
- « Genesia », duo « Le Baïkal », Jean-Luc Brunetti et Jacques Pellarin
- « Sous d’autres jazzitudes », Jacques Pellarin.
Toute la journée, successivement, les deux cds vont tourner. Au fil des écoutes, nous avons commencé à faire des comparaisons, non pour établir quelque palmarès entre les morceaux, mais pour mieux en saisir leurs spécificités.
Du coup, sans attendre d’approfondir encore notre écoute, j’ai envoyé un courriel à Jacques Pellarin pour lui signifier et la bonne réception de son envoi et le plaisir que nous avions éprouvé en découvrant le contenu de celui-ci. En substance, je lui dis que nous sommes certes incapables d’analyser notre satisfaction en termes techniques, mais que celle-ci est une évidence sensible fort agréable. Je lui dis aussi que nous apprécions beaucoup ce que j’appellerais son classicisme, c’est-à-dire une économie de moyens extrême pour atteindre un maximum d’effets esthétiques. Il y a là une sorte de dimension morale de l’œuvre et de l’interprétation à laquelle, quand nous la percevons, nous sommes particulièrement sensibles. Je parlerais presque d’honnêteté. J’ajoute qu’il y a un certain nombre d’accordéonistes que nous appelons nos « fondamentaux », comme par exemple Galliano, Mille, Lassagne, Azzolla, Sopa, Colin, Privat, entre autres, et que de toute évidence lui-même, Jacques Pellarin, en fait d’ores et déjà partie. Cela tient à une présence, un style propre, une signature qui immédiatement entre en correspondance avec notre monde et avec ce qu’inconsciemment nous attendions.
Conséquence : à l’occasion de ce courriel, je demande à Jacques Pellarin de bien vouloir m’informer, dès que possible, de la sortie de son prochain opus prévue en janvier. Cette demande est, me semble-t-il, un indice sûr de notre plaisir.
Il y a des journées comme ça…
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