mercredi 23 mai - trentels
Cinq images pour cristalliser « Trentels »…
- Karine Küstner en l’église de Ladignac. Solo. Elle joue la "suite anglaise en mi-mineur" (4 pièces) de J.-S. Bach. Son visage presque impassible est tourné vers sa droite. Ses yeux ne quittent pas un seul instant la partition. L'intensité de son regard me fascine.
- Comme Richard Galliano, René Sopa, vêtu de noir, joue de l’accordéon debout, au bord de la scène. Son visage est penché sur le soufflet déployé de son Borsini. Il interprète « Lucie ».
- Les Motion Trio, flegmatiques, fabriquent des sons inouïs pour nous raconter des histoires étranges et décalées. Le Père Ubu était roi de Pologne, je crois ! « L’Ecossaise » est un chef-d’œuvre d’humour et de culture.
- Contraste du Trio PSP : l’extrême économie de gestes des deux guitaristes vs le corps à corps de William Sabatier avec son bandonéon. Ils jouent « Silueta Portena » de Canaro.
- René Lacaille se démène, se multiplie, chante… et tout à coup, sans crier gare, il s’assoit pour nous donner sa version de « Indifférence ». Au début, surpris, je n’en crois pas mes oreilles. C’est magnifique ! Le clavier de son accordéon, sous le feu des projecteurs, est en flammes.
- Karine Küstner en l’église de Ladignac. Solo. Elle joue la "suite anglaise en mi-mineur" (4 pièces) de J.-S. Bach. Son visage presque impassible est tourné vers sa droite. Ses yeux ne quittent pas un seul instant la partition. L'intensité de son regard me fascine.
- Comme Richard Galliano, René Sopa, vêtu de noir, joue de l’accordéon debout, au bord de la scène. Son visage est penché sur le soufflet déployé de son Borsini. Il interprète « Lucie ».
- Les Motion Trio, flegmatiques, fabriquent des sons inouïs pour nous raconter des histoires étranges et décalées. Le Père Ubu était roi de Pologne, je crois ! « L’Ecossaise » est un chef-d’œuvre d’humour et de culture.
- Contraste du Trio PSP : l’extrême économie de gestes des deux guitaristes vs le corps à corps de William Sabatier avec son bandonéon. Ils jouent « Silueta Portena » de Canaro.
- René Lacaille se démène, se multiplie, chante… et tout à coup, sans crier gare, il s’assoit pour nous donner sa version de « Indifférence ». Au début, surpris, je n’en crois pas mes oreilles. C’est magnifique ! Le clavier de son accordéon, sous le feu des projecteurs, est en flammes.
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