mardi 24 juillet
Je m'en tiens pour aujourd'hui à la première photographie que j'ai prise. Clarence Penn est masqué par la présence de Galliano ; Rafaël Mejias, qui était à la place de Penn dans le quartet, s'est déplacé à droite et de ce fait devient beaucoup plus visible, ce qui n'est pas indifférent. Malgré sa position, qui le rend quasi invisible, la présence de Penn est fort sensible et son accord avec la contrebasse et les percussions a beaucoup contribué au plaisir que j'ai éprouvé. Le siège de Hamilton de Holanda, plein centre, montre l'importance et même l'admiration que Galliano lui accorde. Derrière, un écran qui, tout au long de la soirée, apporte une sorte de contrepoint ou de focalisation sur le jeu des musiciens, de manière discrète et bien venue.
... et toujours le corps à corps entre Galliano et son Victoria. J'avais écrit un jour qu'il me faisait penser à une statue de Rodin. Je le pense de plus en plus.
... et toujours le corps à corps entre Galliano et son Victoria. J'avais écrit un jour qu'il me faisait penser à une statue de Rodin. Je le pense de plus en plus.
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