jeudi 19 juillet
Dans les rues de Souillac, les vitrines montrent des affiches du festival. Je photographie l’une de ces vitrines… Disons que je photographie moi-même en train de photographier une affiche et Françoise me photographiant. La photographie comme mise en abîme.
Etrange entrée en concert. Un petit train vers les entrailles de la terre, vers une salle tellurique… à 14 degrés ! Mais, comme tous les gens présents, nous étions avertis et munis de petite laine. Sage précaution ! On aperçoit à gauche des écrans de contrôle sur lesquels on voit la disposition des chaises pour un maximum de cent-cinquante à cent-soixante personnes, bien arrimées dans la glaise humide du sol de la grotte.
Trois images de Toucas, si proche des gens : deux où il improvise, assis ; la dernière où il joue de l’accordéon debout. En dépit de leur qualité, elles donnent une idée assez juste de l’intimité dans laquelle s’est déroulé le concert.
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home