dimanche, novembre 18, 2007

dimanche 18 novembre - photonotes le moulin

Deux attitudes caractéristiques du quatuor au cours de ses variations sur un air populaire ukrainien.

Le plaisir de jouer ensemble est évident. Le Pigini à droite est dépourvu de clavier gauche. Je n'avais jamais vu ça. Du coup, la pureté de ses lignes est digne des réalisations du Bauhaus.


Le trio de jazzmen. La présence sonore du pianiste est inversement proportionnelle à sa présence spatiale.

Un moment de jazz très intimiste : l'accordina remplace l'accordéon.


Trois membres du quintet "argentin"...




Trois membres du même quintet... On voit clairement la position centrale de l'accordéon.

On notera l'absence de micros pour les trois moments du concert. On y perd en puissance et en brillance, mais on y gagne en proximité et, dirais-je, en fragilité.