lundi 19 novembre
… écouté « S-Tres » de Didier Laloy. Pascal Chardome, guitare – piano, Didier Laloy, accordéon diatonique, Frédéric Malempré, percussions. En première écoute, je suis sensible à ce que j’appellerais volontiers l’atmosphère de l’album. De morceau en morceau, je perçois, comme un fil rouge, l’installation d’un climat de brumes, d’étendues d’eau incertaines, de soleil voilé et d’arbres rabougris comme des saules. Curieusement, la musique évoque pour moi immédiatement des images de paysages. Couleurs de peintres flamands ou hollandais.
Après avoir écouté « S-Tres», je m’interroge avec Françoise sur la manière dont je vais pouvoir publier les photographies d’accordéons que j’ai faites à Roques. Je me rends compte que j’en ai trente-trois, ce qui est beaucoup, mais pas trop eu égard à la qualité des instruments exposés. Il ne me parait ni possible de produire toutes ces photographies en une seule fois, ni d’en sélectionner quelques unes tant le choix me parait impossible. Comme disait le philosophe : « choisir, c’est renoncer » et justement je n’ai pas envie de renoncer à montrer ne serait-ce que l’une d’entre. En fait, ce serait comme une injustice.
Et justement, au fil de la discussion Françoise a eu idée, qui me plait tout à fait : produire les trente-trois photographies par séries de cinq ou six, chaque jour, sans aucun souci ni didactique, ni pédagogique, ni même documentaire. Simplement pour le plaisir des yeux, au hasard des prises de vues, et pour s’imprégner de la perfection technique et esthétique de ces beaux objets. Aussitôt dit, aussitôt fait…
Après avoir écouté « S-Tres», je m’interroge avec Françoise sur la manière dont je vais pouvoir publier les photographies d’accordéons que j’ai faites à Roques. Je me rends compte que j’en ai trente-trois, ce qui est beaucoup, mais pas trop eu égard à la qualité des instruments exposés. Il ne me parait ni possible de produire toutes ces photographies en une seule fois, ni d’en sélectionner quelques unes tant le choix me parait impossible. Comme disait le philosophe : « choisir, c’est renoncer » et justement je n’ai pas envie de renoncer à montrer ne serait-ce que l’une d’entre. En fait, ce serait comme une injustice.
Et justement, au fil de la discussion Françoise a eu idée, qui me plait tout à fait : produire les trente-trois photographies par séries de cinq ou six, chaque jour, sans aucun souci ni didactique, ni pédagogique, ni même documentaire. Simplement pour le plaisir des yeux, au hasard des prises de vues, et pour s’imprégner de la perfection technique et esthétique de ces beaux objets. Aussitôt dit, aussitôt fait…
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