vendredi 23 novembre
… écouté ce matin « Manhattan Cascade » de Guy Klucevsek. C’est un disque édité en 1992 par Composers Recording Inc. J’ai une relation assez paradoxale avec le jeu de Guy Klucevsek. Je le connais assez bien pour qu’il ne me surprenne plus. En revanche, chacun de ses albums m’étonne. Comme justement il est surprenant, il ne me surprend plus. Normal. Mais cette surprise attendue est finalement toujours sujette à interrogations nouvelles. C’est en cela qu’il m’étonne. « Manhattan Cascade » est un album d’une richesse extraordinaire et à proprement parler étonnante. Klucevsek, c’est la virtuosité technique au service d’une culture si profonde qu’elle est capable de se présenter sous les apparences de l’humour, de l’ironie et en quelque sorte du sourire en coin. J’y reviendrai, car plusieurs morceaux méritent le détour. Je pense par exemple à « Road Runner » de John Zorn ou à « Samba D Hiccup » de Klucevsek lui-même. Ou encore, du même, à « An Art of Gathering Pipers ». J'ai l'impression que le Motion Trio a écouté cet album très attentivement.
En fin d’après-midi, courses alimentaires à l’hypermarché. Comme d’habitude, après avoir chargé les sacs dans la voiture, petit retour vers l’espace culturel. Nous avons accumulé 33 euros de réduction sur la carte de fidélité. Il faut les craquer, vite fait. Pendant que Françoise cherche d’abord un livre, puis un dvd, j’explore de manière assez dilettante le rayon des disques. Rien de neuf à l’horizon, sinon un album du « Taraf de Haïdouks », dont j’écoute quelques extraits, mais qui me parait un peu commercial, un peu trop formaté sinon musique du monde, du moins musique pour tout le monde. Je finirai bien par l’acheter pour en avoir le cœur net, mais pour l’instant, c’est trop tôt. J’explore donc le rayon des disques de jazz. Hormis les classiques de Galliano, pas d’accordéon à se mettre sous la dent, si je puis dire. Sans trop savoir pourquoi, je regarde si, par hasard, en M il y aurait une nouveauté de Daniel Mille. Rien. Cependant, en troisième épaisseur, surprise, un disque attire mon attention :
- « Musique à la mode » de Marcel Azzola et Lina Bossatti.
Je n’en crois pas mes yeux, car je croyais ce disque épuisé. En fait, il s’agit bien d’une réédition dans le cadre d’une collection intitulée « Héritage ». Le disque se trouvait en M à cause bien sûr du prénom d’Azzola. Ce disque, produit par Marcel Azzola et Lina Bossatti, en 1993, est donc réédité en 2007 par Universal Music France. Je suis en train de l’écouter et c’est le coup de cœur. Le piano de Lina Bossatti est d’une précision impeccable, quant à Marcel Azzola, je trouve son jeu d’une intelligence magnifique. L’interprétation du titre 1 : « Rhapsody in Blue » est d’une finesse qui m’a sidéré. Je n’hésite pas à dire que pour moi, c’est un grand disque de jazz. J’y reviendrai, une fois passé le choc de la première écoute et de l’émerveillement qu’il suscite en moi.
En fin d’après-midi, courses alimentaires à l’hypermarché. Comme d’habitude, après avoir chargé les sacs dans la voiture, petit retour vers l’espace culturel. Nous avons accumulé 33 euros de réduction sur la carte de fidélité. Il faut les craquer, vite fait. Pendant que Françoise cherche d’abord un livre, puis un dvd, j’explore de manière assez dilettante le rayon des disques. Rien de neuf à l’horizon, sinon un album du « Taraf de Haïdouks », dont j’écoute quelques extraits, mais qui me parait un peu commercial, un peu trop formaté sinon musique du monde, du moins musique pour tout le monde. Je finirai bien par l’acheter pour en avoir le cœur net, mais pour l’instant, c’est trop tôt. J’explore donc le rayon des disques de jazz. Hormis les classiques de Galliano, pas d’accordéon à se mettre sous la dent, si je puis dire. Sans trop savoir pourquoi, je regarde si, par hasard, en M il y aurait une nouveauté de Daniel Mille. Rien. Cependant, en troisième épaisseur, surprise, un disque attire mon attention :
- « Musique à la mode » de Marcel Azzola et Lina Bossatti.
Je n’en crois pas mes yeux, car je croyais ce disque épuisé. En fait, il s’agit bien d’une réédition dans le cadre d’une collection intitulée « Héritage ». Le disque se trouvait en M à cause bien sûr du prénom d’Azzola. Ce disque, produit par Marcel Azzola et Lina Bossatti, en 1993, est donc réédité en 2007 par Universal Music France. Je suis en train de l’écouter et c’est le coup de cœur. Le piano de Lina Bossatti est d’une précision impeccable, quant à Marcel Azzola, je trouve son jeu d’une intelligence magnifique. L’interprétation du titre 1 : « Rhapsody in Blue » est d’une finesse qui m’a sidéré. Je n’hésite pas à dire que pour moi, c’est un grand disque de jazz. J’y reviendrai, une fois passé le choc de la première écoute et de l’émerveillement qu’il suscite en moi.
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