jeudi 5 juin - des accordéons et des primitifs du futur
« Accordéon & accordéonistes », n° 76, juin 2008 est arrivé. Plusieurs informations intéressantes. Une page, la page 24, rend compte du festival de Trentels. Je suis content. Le commentaire est succinct, mais pertinent.
Je note…
- « Le Band de Seilhac », entretien de F. Jallot. Questions : « A quel moment avez-vous commencé l’apprentissage du diatonique ? », « Que recherchez-vous dans la sonorité du diatonique ? »
- « Olivier Duris », entretien de F. Jallot. Question : « Pourriez-vous definir le diato ?»
- « Riccardo Tesi », entretien de F. Jallot. Questions : « Où en est votre aventure musicale avec le diato ? », « Pourriez-vous définir les caractéristiques du diatonique ? »
- « Didier Laloy », entretien de F. Jallot. « … Là, il découvre le diatonique : c’est le déclic. D’autant plus que le solfège ne semble pas nécessaire pour se mettre à jouer sur ce fascinant instrument ».
- « Benjamin Macke », entretien de F. Jallot. « … Ce ch’ti gars diatonise avec finesse et intelligence ».
On l’aura compris, le diatonique joue le rôle du fil rouge entre les entretiens menés par Françoise Jallot dans ce numéro. Soyons juste cependant. Dans l’entretien avec Juliette Daum, on peut lire cette question : « Pourquoi le [l’accordina] préférer à l’accordéon chromatique par exemple ? ». En revanche, dans l’article consacré au groupe Davaï, dont l’accordéoniste joue du chromatique, on trouve cette question : « Comment l’accordéon est-il entré dans votre vie ? », l’accordéon en général, mais rien sur la spécificité du chromatique. Tout de même, une chronique très élogieuse (à juste titre) sur le disque de Frédéric Daverio, « Silence… on tourne », mais rien sur la spécificité de son instrument. Cette focalisation sur le diatonique m’a amusé.
….
Après quelques courses alimentaires à l’hypermarché, petit détour par l’espace culturel. Je tombe littéralement sur le dernier disque des « Primitifs du futur », « Tribal Musette ». Un vrai feu d’artifice, si j’en juge par la couverture et par le livret détaillé qui accompagne le cd. Entre autres, à l’accordéon, Daniel Colin, Jean-Claude Laudat, Marcel Azzolla, Francis Varis, Raul Barboza. Et, aux diatoniques, Flaco Jimenez et Robert Santiago.
J’avais bien l’intention d’écouter ce disque dès ce soir, mais Camille, qui passe la semaine à Pau, avait d’autres projets. Ce sera donc pour demain…
Je note…
- « Le Band de Seilhac », entretien de F. Jallot. Questions : « A quel moment avez-vous commencé l’apprentissage du diatonique ? », « Que recherchez-vous dans la sonorité du diatonique ? »
- « Olivier Duris », entretien de F. Jallot. Question : « Pourriez-vous definir le diato ?»
- « Riccardo Tesi », entretien de F. Jallot. Questions : « Où en est votre aventure musicale avec le diato ? », « Pourriez-vous définir les caractéristiques du diatonique ? »
- « Didier Laloy », entretien de F. Jallot. « … Là, il découvre le diatonique : c’est le déclic. D’autant plus que le solfège ne semble pas nécessaire pour se mettre à jouer sur ce fascinant instrument ».
- « Benjamin Macke », entretien de F. Jallot. « … Ce ch’ti gars diatonise avec finesse et intelligence ».
On l’aura compris, le diatonique joue le rôle du fil rouge entre les entretiens menés par Françoise Jallot dans ce numéro. Soyons juste cependant. Dans l’entretien avec Juliette Daum, on peut lire cette question : « Pourquoi le [l’accordina] préférer à l’accordéon chromatique par exemple ? ». En revanche, dans l’article consacré au groupe Davaï, dont l’accordéoniste joue du chromatique, on trouve cette question : « Comment l’accordéon est-il entré dans votre vie ? », l’accordéon en général, mais rien sur la spécificité du chromatique. Tout de même, une chronique très élogieuse (à juste titre) sur le disque de Frédéric Daverio, « Silence… on tourne », mais rien sur la spécificité de son instrument. Cette focalisation sur le diatonique m’a amusé.
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Après quelques courses alimentaires à l’hypermarché, petit détour par l’espace culturel. Je tombe littéralement sur le dernier disque des « Primitifs du futur », « Tribal Musette ». Un vrai feu d’artifice, si j’en juge par la couverture et par le livret détaillé qui accompagne le cd. Entre autres, à l’accordéon, Daniel Colin, Jean-Claude Laudat, Marcel Azzolla, Francis Varis, Raul Barboza. Et, aux diatoniques, Flaco Jimenez et Robert Santiago.
J’avais bien l’intention d’écouter ce disque dès ce soir, mais Camille, qui passe la semaine à Pau, avait d’autres projets. Ce sera donc pour demain…
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