vendredi 6 juin - tribal musette
Comme je manque de temps pour peaufiner cette page (Camille débordant d'activités et de projets), je m’en tiens à l’essentiel :
- « Tribal Musette » de Dominique Cravic et les Primitifs du futur, Universal Music 2008.
Bien sûr, tout porte à croire qu’il faut entendre « tribal » au double sens de « tribu » et de « (tri)bal ». Bal musette et le musette comme totem d’une tribu de 52 participants, chiffre donné dans le livret de présentation. Une tribu donc qui, au gré des morceaux, se forme et se déforme, avec un lien fort, un vrai fil rouge, une intelligence musicale et une intelligence tout court hors du commun. On entend dans ce disque ce que signifie la culture en acte. Non une culture de concepts et d’idées, non une culture de références obligées, mais la culture comme mode de vie culturelle. Bref, l’intelligence à l’état pur. Avec cette décontraction apparente, une forme de politesse, qui est la marque de la culture incarnée. Tout est construit et réfléchi, tout se donne comme spontané et facile. Facile, tu parles ! rien n’est plus élaboré que cette entreprise. Et puis, pour l’amateur d’accordéon, quel régal :
- Daniel Colin sur plusieurs titres ; Daniel Colin en duo avec J.-C. Laudat, avec Azzola, avec Barboza ;
- mais encore Francis Varis
- ou, en duo diato, Robert Santiago et Flaco Jimenez.
Tous les titres méritent notre attention et suscitent notre plaisir. Il faut en citer plusieurs :
- La valse hindoue
- Dalinette
- Je cherche après Titine, paroles en arabe
- Canal Saint Martin
- Syldave ou Bordure ?
- Nous sommes seul(e)s avec Mieko Miyazaki
- Mingus Viseur (même astuce linguistique sur Gus que sur Bal dans le titre. A cette occasion le dialogue entre Colin et Viret à la contrebasse est un délice rare
- Syldave et Bordure
- La dernière rumba de Django
- Les anges de San Antonio
Mais il faudrait tout citer tant l’ensemble et les détails sont magnifiques. Je n’ai pas d’autre mot qu’intelligence pour caractériser cet album.
- « Tribal Musette » de Dominique Cravic et les Primitifs du futur, Universal Music 2008.
Bien sûr, tout porte à croire qu’il faut entendre « tribal » au double sens de « tribu » et de « (tri)bal ». Bal musette et le musette comme totem d’une tribu de 52 participants, chiffre donné dans le livret de présentation. Une tribu donc qui, au gré des morceaux, se forme et se déforme, avec un lien fort, un vrai fil rouge, une intelligence musicale et une intelligence tout court hors du commun. On entend dans ce disque ce que signifie la culture en acte. Non une culture de concepts et d’idées, non une culture de références obligées, mais la culture comme mode de vie culturelle. Bref, l’intelligence à l’état pur. Avec cette décontraction apparente, une forme de politesse, qui est la marque de la culture incarnée. Tout est construit et réfléchi, tout se donne comme spontané et facile. Facile, tu parles ! rien n’est plus élaboré que cette entreprise. Et puis, pour l’amateur d’accordéon, quel régal :
- Daniel Colin sur plusieurs titres ; Daniel Colin en duo avec J.-C. Laudat, avec Azzola, avec Barboza ;
- mais encore Francis Varis
- ou, en duo diato, Robert Santiago et Flaco Jimenez.
Tous les titres méritent notre attention et suscitent notre plaisir. Il faut en citer plusieurs :
- La valse hindoue
- Dalinette
- Je cherche après Titine, paroles en arabe
- Canal Saint Martin
- Syldave ou Bordure ?
- Nous sommes seul(e)s avec Mieko Miyazaki
- Mingus Viseur (même astuce linguistique sur Gus que sur Bal dans le titre. A cette occasion le dialogue entre Colin et Viret à la contrebasse est un délice rare
- Syldave et Bordure
- La dernière rumba de Django
- Les anges de San Antonio
Mais il faudrait tout citer tant l’ensemble et les détails sont magnifiques. Je n’ai pas d’autre mot qu’intelligence pour caractériser cet album.
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