samedi 1 juillet
Beaucoup de choses… Je vais essayer de mettre un peu d’ordre dans tout ça.
D’abord, hier soir, vendredi 30 juin, concerts d’ouverture du festival de Jazz à Oloron (Oloron Sainte Marie, 64400), « festival des rives et des notes ». L’auditorium Jeliote qui les accueille est un lieu d’une acoustique extraordinaire, de l’avis même des artistes et des ingénieurs du son. Nous avons, Françoise et moi, une place pour chacun des deux concerts (placement libre, prix TTC par la Fnac : 28,80 euros). Les billets portent la mention : 19h01. Précision inhabituelle… et inutile étant donnée la pratique dite du quart d’heure béarnais, lequel quart d’heure est d’environ vingt minutes à quelques paquets de secondes près.
- 19h00 (19h20) – 20h15 (20h45) : Michel Macias Quartet. Michel Macias, accordéon ; Vincent Macias, guitare ; Vincent Girardon, violon ; Eric Duboscq, basse. Nous sommes assis au premier rang, au centre, juste en face de la chaise de Michel Macias. Les autres instruments sont en place, pas son accordéon Maugein, ce qui est inhabituel. A gauche, le violon ; entre le violon et la place de l’accordéon, une guitare ; à droite, une guitare basse.
- Intermède sandwich sur un banc devant l’auditorium. Un petit verre de Jurançon doux au bistrot d’en face. La lumière est douce ; les Pyrénées sont bleues ; la chaleur de l’après-midi s’est atténuée. Retour à la salle de concert : la fraicheur est agréable, le bois est chaleureux, les fauteuils sont confortables, la lumière crue venue des cintres détache les instruments sur un fond de pénombre. Au milieu, un accordéon et divers autres instruments ; de part et d’autre et derrière la chaise de l’accordéoniste des percussions ; à gauche, un peu décalé, un saxophone et une flute traversière.
- 21h30 (21h45) – … (23h45) : René Lacaille Quintet. René Lacaille (accordéon et autres…) ; Aldo Guinard (saxophone et flute traversière) ; Marc Lacaille (percussions) ; Oriane Lacaille (percussions) ; Yanis Lacaille (percussions).
Bien entendu, nous reviendrons sur ces deux concerts, dont nous sommes ressortis heureux. Retour à Pau entre minuit et une heure. Juste le temps de nous remémorer à chaud nos premières impressions.
Mais ce n’est pas tout. Il se trouve qu’Harmonia Mundi offre un cd, parmi trois sélections, sur présentation d’un billet d’entrée aux concerts de ce festival. Comme je lui téléphone dans l’après-midi pour confirmation, le responsable de la boutique de Tarbes m’informe qu’il tiendra un stand le soir avec des disques de Macias et de Lacaille. Françoise choisit comme cd offert à cette occasion le disque 17 de la collection « La musique des siècles – A History of Music » : L’éveil des Nations.
Mais ce n’est pas tout. Bruno G., le responsable donc de la boutique, m’indique de surcroit deux choses qui pourraient m’intéresser :
- la réédition de « Swing Rencontre » d’Angelo Debarre et Ludovic Beier, d’une part,
- un disque intitulé « C.J. Chenier, The Desperate Kingdom of Love ».
Le premier disque me ravit car il n’était plus disponible et je le cherchais en vain ; le second m’intrigue : quelle relation entre C.J. Chenier et Clifton Chenier ? En tout cas, il est convenu qu’il me portera les trois disques le soir même. Ce qui fut fait. Dès demain, on essaie de fixer un peu toutes ces bonnes choses.
Après réflexion et avant de faire quelques recherches à propos de la question que je viens de me poser, je me dis que sans doute C.J. correspond à Clifton et J. à Junior. Hypothèse plausible à vérifier.
D’abord, hier soir, vendredi 30 juin, concerts d’ouverture du festival de Jazz à Oloron (Oloron Sainte Marie, 64400), « festival des rives et des notes ». L’auditorium Jeliote qui les accueille est un lieu d’une acoustique extraordinaire, de l’avis même des artistes et des ingénieurs du son. Nous avons, Françoise et moi, une place pour chacun des deux concerts (placement libre, prix TTC par la Fnac : 28,80 euros). Les billets portent la mention : 19h01. Précision inhabituelle… et inutile étant donnée la pratique dite du quart d’heure béarnais, lequel quart d’heure est d’environ vingt minutes à quelques paquets de secondes près.
- 19h00 (19h20) – 20h15 (20h45) : Michel Macias Quartet. Michel Macias, accordéon ; Vincent Macias, guitare ; Vincent Girardon, violon ; Eric Duboscq, basse. Nous sommes assis au premier rang, au centre, juste en face de la chaise de Michel Macias. Les autres instruments sont en place, pas son accordéon Maugein, ce qui est inhabituel. A gauche, le violon ; entre le violon et la place de l’accordéon, une guitare ; à droite, une guitare basse.
- Intermède sandwich sur un banc devant l’auditorium. Un petit verre de Jurançon doux au bistrot d’en face. La lumière est douce ; les Pyrénées sont bleues ; la chaleur de l’après-midi s’est atténuée. Retour à la salle de concert : la fraicheur est agréable, le bois est chaleureux, les fauteuils sont confortables, la lumière crue venue des cintres détache les instruments sur un fond de pénombre. Au milieu, un accordéon et divers autres instruments ; de part et d’autre et derrière la chaise de l’accordéoniste des percussions ; à gauche, un peu décalé, un saxophone et une flute traversière.
- 21h30 (21h45) – … (23h45) : René Lacaille Quintet. René Lacaille (accordéon et autres…) ; Aldo Guinard (saxophone et flute traversière) ; Marc Lacaille (percussions) ; Oriane Lacaille (percussions) ; Yanis Lacaille (percussions).
Bien entendu, nous reviendrons sur ces deux concerts, dont nous sommes ressortis heureux. Retour à Pau entre minuit et une heure. Juste le temps de nous remémorer à chaud nos premières impressions.
Mais ce n’est pas tout. Il se trouve qu’Harmonia Mundi offre un cd, parmi trois sélections, sur présentation d’un billet d’entrée aux concerts de ce festival. Comme je lui téléphone dans l’après-midi pour confirmation, le responsable de la boutique de Tarbes m’informe qu’il tiendra un stand le soir avec des disques de Macias et de Lacaille. Françoise choisit comme cd offert à cette occasion le disque 17 de la collection « La musique des siècles – A History of Music » : L’éveil des Nations.
Mais ce n’est pas tout. Bruno G., le responsable donc de la boutique, m’indique de surcroit deux choses qui pourraient m’intéresser :
- la réédition de « Swing Rencontre » d’Angelo Debarre et Ludovic Beier, d’une part,
- un disque intitulé « C.J. Chenier, The Desperate Kingdom of Love ».
Le premier disque me ravit car il n’était plus disponible et je le cherchais en vain ; le second m’intrigue : quelle relation entre C.J. Chenier et Clifton Chenier ? En tout cas, il est convenu qu’il me portera les trois disques le soir même. Ce qui fut fait. Dès demain, on essaie de fixer un peu toutes ces bonnes choses.
Après réflexion et avant de faire quelques recherches à propos de la question que je viens de me poser, je me dis que sans doute C.J. correspond à Clifton et J. à Junior. Hypothèse plausible à vérifier.
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