mercredi 31 janvier
… séjour à Toulouse pour assurer un peu d’intendance. Route superbe de Pau à Muret, à quelques kilomètres de Toulouse. Les Pyrénées, sur notre droite, éclaboussent le ciel de leur éclat blanc. On a l’impression qu’elles sont recouvertes d’une épaisse couche de neige. Impression fausse, car nous savons par des amis skieurs que la plupart des pistes sont difficilement praticables. Même les canons à neige manquent de puissance tant l’eau fait défaut. En tout cas, trajet superbe. 11° à l’extérieur. 20° dans la voiture. Et puis, brusquement, en arrivant à Muret, changement de décor : brouillard givrant, sur les arbres, ce qui est très beau, et sur la chaussée, ce qui surprend et est dangereux. La température tombe tout d’un coup à 1°. En arrivant à la maison, nous découvrons que Charlotte et Camille sont enrhumées et un peu fiévreuses. Demain, tout le monde au chaud !
Je profite d’un moment de calme dans la soirée pour explorer un peu les sites où il est question de Richard Galliano. Je ne retrouve plus son site officiel, qui, me semble-t-il, était édité par Dreyfus. Ce site m’avait paru incomplet, ni fait, ni à faire. Du coup, j’explore ici et là… pour voir, sans intention précise. Chemin faisant, je tombe sur un site :
http://www.richardgalliano.com/
… qui me parait intéressant, même s’il est encore en construction. En le parcourant, j’ai cependant le sentiment qu’un tel site n’est pas la priorité de Richard Galliano. Je m’imagine que, pour lui, son œuvre est devant lui, son œuvre, c’est ce qu’il va faire demain, son œuvre, ce sont les multiples projets qu’il doit réaliser. S’il se retourne vers le passé, c’est pour y trouver des morceaux à relire, à interpréter de façons nouvelles, pour leur donner une nouvelle vie, pas pour les retrouver, identiques à eux-mêmes. La nostalgie n’est pas son monde. Du coup, je pense qu’il n’investira jamais autant d’énergie et de créativité dans l’élaboration d’un site consacré à sa gloire que dans des compositions nouvelles et dans des rencontres improbables. Et je trouve ça très bien.
D’autre part, je note l’annonce de la sortie d’un DVD, «Live in Marciac », autour du 12 février. Suivant les sites de vente, la description de ce disque est différente : pour certains, elle se réduit à la prestation de Tangaria , pour d’autres, il n’est question que des deux premières parties. Je continue mon exploration… en attendant le 12 février.
En explorant You Tube, je découvre à nouveau la prestation de Richard Galliano et de Tangaria au "Paris Jazz Festival 2006". Je ne me rappelle plus si j'avais noté l'adresse :
http://www.youtube.com/watch?v=Lrq1DbWjVgg
L'image me paraît meilleure que le son. Finalement, je crois que je préfère un environnement du type "New Morning" ou Théâtre de Perpignan à une scène extérieure, comme ici, ou même à un chapiteau comme à Marciac où la machinerie et le gigantisme perturbent l'attention et la détournent, à mon sens, de l'interprétation vers la performance.
Je profite d’un moment de calme dans la soirée pour explorer un peu les sites où il est question de Richard Galliano. Je ne retrouve plus son site officiel, qui, me semble-t-il, était édité par Dreyfus. Ce site m’avait paru incomplet, ni fait, ni à faire. Du coup, j’explore ici et là… pour voir, sans intention précise. Chemin faisant, je tombe sur un site :
http://www.richardgalliano.com/
… qui me parait intéressant, même s’il est encore en construction. En le parcourant, j’ai cependant le sentiment qu’un tel site n’est pas la priorité de Richard Galliano. Je m’imagine que, pour lui, son œuvre est devant lui, son œuvre, c’est ce qu’il va faire demain, son œuvre, ce sont les multiples projets qu’il doit réaliser. S’il se retourne vers le passé, c’est pour y trouver des morceaux à relire, à interpréter de façons nouvelles, pour leur donner une nouvelle vie, pas pour les retrouver, identiques à eux-mêmes. La nostalgie n’est pas son monde. Du coup, je pense qu’il n’investira jamais autant d’énergie et de créativité dans l’élaboration d’un site consacré à sa gloire que dans des compositions nouvelles et dans des rencontres improbables. Et je trouve ça très bien.
D’autre part, je note l’annonce de la sortie d’un DVD, «Live in Marciac », autour du 12 février. Suivant les sites de vente, la description de ce disque est différente : pour certains, elle se réduit à la prestation de Tangaria , pour d’autres, il n’est question que des deux premières parties. Je continue mon exploration… en attendant le 12 février.
En explorant You Tube, je découvre à nouveau la prestation de Richard Galliano et de Tangaria au "Paris Jazz Festival 2006". Je ne me rappelle plus si j'avais noté l'adresse :
http://www.youtube.com/watch?v=Lrq1DbWjVgg
L'image me paraît meilleure que le son. Finalement, je crois que je préfère un environnement du type "New Morning" ou Théâtre de Perpignan à une scène extérieure, comme ici, ou même à un chapiteau comme à Marciac où la machinerie et le gigantisme perturbent l'attention et la détournent, à mon sens, de l'interprétation vers la performance.
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