vendredi 26 janvier - addenda 3
Il faut bien que le voyage se termine. Après une nuit en train, bercés par le doux tangage des couchettes, nous arrivons à Pau, vers 8h30, avec une heure de retard pour cause d’intempéries (chutes de neige abondantes autour de Poitiers). La voiture nous attend sur le parking.
Pendant le trajet jusqu’à la maison, Françoise fait cette remarque que je trouve tellement pertinente que je suis presque déçu de n’y avoir pas pensé par moi-même : « ce qui m’a frappée, particulièrement au court de ce concert, c’est le métissage revendiqué des influences. D’ailleurs, Richard Galliano, lui-même, a fait allusion au fait qu’il n’y a que de la bonne ou de la mauvaise musique, mais pas des musiques plus ou moins nobles en tant que telles… On trouve en effet l’influence italienne, la valse, le tango, le Brésil et le sanfona… et bien d’autres encore ». L’idée de musique métisse et de métissage revendiqué me plait bien par sa justesse.
Pendant le trajet jusqu’à la maison, Françoise fait cette remarque que je trouve tellement pertinente que je suis presque déçu de n’y avoir pas pensé par moi-même : « ce qui m’a frappée, particulièrement au court de ce concert, c’est le métissage revendiqué des influences. D’ailleurs, Richard Galliano, lui-même, a fait allusion au fait qu’il n’y a que de la bonne ou de la mauvaise musique, mais pas des musiques plus ou moins nobles en tant que telles… On trouve en effet l’influence italienne, la valse, le tango, le Brésil et le sanfona… et bien d’autres encore ». L’idée de musique métisse et de métissage revendiqué me plait bien par sa justesse.
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