dimanche 24 juin
… écouté ce matin, de bonne heure, « Eau Forte ».
- « Eau Forte », Quatre à quatre, Ajmiseries janvier 2005, Harmonia Mundi.
Quatre à quatre est le nom d’un quatuor : Michèle Veronique, violon et voix, Agnès Binet, accordéon, Jean Bolcato, contrebasse et voix, Christian Rollet, contrebasse et percussions.
Je suis à la fois sensible au jeu de relations entre les quatre membres de l’ensemble, une sorte de complicité qui aurait de très profondes racines, et un peu dépassé par la modernité de leur musique. Je sens qu’il y a quelque chose de très contemporain dans leur recherche, car je crois qu’il s’agit de recherche, et j’ai conscience que les limites de ma culture musicale ne me permettent pas de l’apprécier. Disons que c’est encore trop difficile pour moi. Disons autrement que mon oreille ne s’est pas encore suffisamment familiarisée avec ces territoires sonores nouveaux. Mais je suis bien décidé à m’accrocher…
Je dois dire que le texte de présentation ne m’a pas aidé. Il reste obscur pour ma compréhension. De même, le texte signé Michèle Véronique et Christian Rollet, deux des membres du quatuor, reste pour moi incompréhensible. En tout cas, ils ne m’aident pas à trouver le plaisir que recèle « Eau Forte ». Je cite la première et la dernière ligne :
« Eau Forte est la rémanence des sons comme texture du visible… Eau Forte est la révélation d’une contrée sonore à la luxuriance affranchie ».
Je vais essayer de chercher ici et là quelques commentaires, qui pourraient m’introduire à cette compréhension qui me fait défaut et je suis bien décidé à multiplier les écoutes à la recherche de l’impression ou de la sensation qui fera déclic.
J’ai le même problème avec Pascal Contet et avec Nano… Ils s’aventurent sur des terres encore peu balisées et leur cheminement me désoriente.
- « Eau Forte », Quatre à quatre, Ajmiseries janvier 2005, Harmonia Mundi.
Quatre à quatre est le nom d’un quatuor : Michèle Veronique, violon et voix, Agnès Binet, accordéon, Jean Bolcato, contrebasse et voix, Christian Rollet, contrebasse et percussions.
Je suis à la fois sensible au jeu de relations entre les quatre membres de l’ensemble, une sorte de complicité qui aurait de très profondes racines, et un peu dépassé par la modernité de leur musique. Je sens qu’il y a quelque chose de très contemporain dans leur recherche, car je crois qu’il s’agit de recherche, et j’ai conscience que les limites de ma culture musicale ne me permettent pas de l’apprécier. Disons que c’est encore trop difficile pour moi. Disons autrement que mon oreille ne s’est pas encore suffisamment familiarisée avec ces territoires sonores nouveaux. Mais je suis bien décidé à m’accrocher…
Je dois dire que le texte de présentation ne m’a pas aidé. Il reste obscur pour ma compréhension. De même, le texte signé Michèle Véronique et Christian Rollet, deux des membres du quatuor, reste pour moi incompréhensible. En tout cas, ils ne m’aident pas à trouver le plaisir que recèle « Eau Forte ». Je cite la première et la dernière ligne :
« Eau Forte est la rémanence des sons comme texture du visible… Eau Forte est la révélation d’une contrée sonore à la luxuriance affranchie ».
Je vais essayer de chercher ici et là quelques commentaires, qui pourraient m’introduire à cette compréhension qui me fait défaut et je suis bien décidé à multiplier les écoutes à la recherche de l’impression ou de la sensation qui fera déclic.
J’ai le même problème avec Pascal Contet et avec Nano… Ils s’aventurent sur des terres encore peu balisées et leur cheminement me désoriente.
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