lundi 13 août
Est-ce l’influence de l’Espagne dont la culture est omniprésente aux fêtes de Dax, toujours est-il que j’ai eu envie d’écouter le « Romancero Gitano » de Vicente Pradal d’après l’œuvre de Federico Garcia Lorca.
- « Romancero Gitano », 2004 EMI Records / Virgin Classics.
Douze tableaux, comme des eaux fortes, où Jean-Luc Amestoy donne toute la mesure de son art en dialoguant avec les voix, les palmas, la guitare flamenca, les percussions et le violoncelle d’Emmanuel Joussemet. Parenthèse : je vérifie encore une fois que j’apprécie au plus haut point la guitare flamenca, alors que la guitare manouche me laisse plutôt indifférent. C’est comme ça. En tout cas, je ne sais pas si l’on peut parler d’accordéon flamenco, mais si ce n’est pas encore le cas, on pourrait l’inventer pour qualifier le jeu d’Amestoy.
Souvent j’ai quelques réticences à l’égard d’un certain excès dans les expressions vocales flamencas et quand le flamenco veut trop séduire le touriste, ça peut devenir insupportable, comme en ce qui concerne le tango, le musette ou, j’y reviens, la guitare manouche. Mais ici, tout est pur, clair, sans fioritures, en un mot, classique. Du coup, il n’y a pas lieu de s’étonner que Jean-Luc Amestoy soit une pièce maitresse de ce disque.
- « Romancero Gitano », 2004 EMI Records / Virgin Classics.
Douze tableaux, comme des eaux fortes, où Jean-Luc Amestoy donne toute la mesure de son art en dialoguant avec les voix, les palmas, la guitare flamenca, les percussions et le violoncelle d’Emmanuel Joussemet. Parenthèse : je vérifie encore une fois que j’apprécie au plus haut point la guitare flamenca, alors que la guitare manouche me laisse plutôt indifférent. C’est comme ça. En tout cas, je ne sais pas si l’on peut parler d’accordéon flamenco, mais si ce n’est pas encore le cas, on pourrait l’inventer pour qualifier le jeu d’Amestoy.
Souvent j’ai quelques réticences à l’égard d’un certain excès dans les expressions vocales flamencas et quand le flamenco veut trop séduire le touriste, ça peut devenir insupportable, comme en ce qui concerne le tango, le musette ou, j’y reviens, la guitare manouche. Mais ici, tout est pur, clair, sans fioritures, en un mot, classique. Du coup, il n’y a pas lieu de s’étonner que Jean-Luc Amestoy soit une pièce maitresse de ce disque.
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