lundi 14 avril - les pommes de ma douche
Malgré le peu de temps dont je dispose, j’ai quand même pu écouter la quasi-totalité des morceaux de « Swing from Paris », dernier opus des « Pommes de ma douche ». C’est une machine qui tourne. Ces cinq-là sont comme des copains fidèles. On les a vus depuis trois jours, trois mois ou trois ans, peu importe, on s’attable et l’on est tout de suite entre soi. On est sur la même longueur d’ondes.
On retrouve des standards, on découvre des compositions originales. On a affaire à un jazz manouche parfaitement rodé. Bien sûr, le violon, la contrebasse ont une place primordiale, mais David Rivière maitrise de mieux en mieux son sujet, comme on dit. Parmi les standards, « I love Paris », « Swing from Paris », « A Paris » ou encore « Fleur de Paris » et « Revoir Paris ». Parmi les compositions originales, « Scènes de Paris », « Stranger in Paris » ou « Paris Swing ». De prime abord, un disque agréable, enjoué, rythmé comme une horloge suisse. A seconde écoute, un travail méticuleux, d’un professionnalisme sans failles. Et quand on reprend les disques précédents, on se rend compte que c’est une œuvre qui patiemment et obstinément se construit.
Si seulement j'arrivais à me fabriquer du temps ou simplement à ne pas consommer celui dont je dispose en actions vaines et inutiles...
On retrouve des standards, on découvre des compositions originales. On a affaire à un jazz manouche parfaitement rodé. Bien sûr, le violon, la contrebasse ont une place primordiale, mais David Rivière maitrise de mieux en mieux son sujet, comme on dit. Parmi les standards, « I love Paris », « Swing from Paris », « A Paris » ou encore « Fleur de Paris » et « Revoir Paris ». Parmi les compositions originales, « Scènes de Paris », « Stranger in Paris » ou « Paris Swing ». De prime abord, un disque agréable, enjoué, rythmé comme une horloge suisse. A seconde écoute, un travail méticuleux, d’un professionnalisme sans failles. Et quand on reprend les disques précédents, on se rend compte que c’est une œuvre qui patiemment et obstinément se construit.
Si seulement j'arrivais à me fabriquer du temps ou simplement à ne pas consommer celui dont je dispose en actions vaines et inutiles...
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