dimanche 26 mars
Tous les camélias du quartier se sont couverts de fleurs roses ou rouges en même temps. Le prunier perd sa blancheur impeccable, ses fleurs tombent comme des flocons de neige et il se couvre d'une multitude de feuilles dont le vert tendre frissonne sous une brise à peine perceptible, chargée de parfums nouveaux. Les branches des bouleaux sont parsemées de bourgeons minuscules ; les glycines s'aggripent à leurs troncs blancs veinés de noir. Les charmes laissent tomber leurs dernières feuilles sèches et les premiers bouquets de feuilles nouvelles se déplient comme de petits feux d'artifice. La météo annonce plus de vingt-cinq degrés pour l'après-midi.
On a décidé de faire une piperade pour déjeuner. C’est un plat typique de la cuisine basque. Il faut compter environ 30 minutes de préparation (20 minutes de cuisine plus 10 minutes pour dresser la table) et 30 minutes de cuisson.
Pour nous accompagner, de la préparation à la dégustation de la piperade, plus le temps du dessert - des fraises Gariguettes au sucre - et d’un café de Colombie, il faut choisir un disque à la fois rustique, chaleureux et convivial. Voyons… voyons… Finalement, ce choix va de soi ; il s’impose avec évidence, d’autant plus que nous avons l’assurance d’un long temps d’écoute et donc de nous installer en toute tranquillité d’esprit dans le monde que nous raconte Raul Barboza. Nous choisissons en effet le coffret de 3 cds :
- "Raul Barboza, L’Anthologie", Frémeaux & Associés / Radio Canada, 1999
- cd 1 : Raul Barboza
- cd 2 : La Tierra sin Mal
- cd 3 : Live at Montmagny
Donc… pour 4 personnes, il faut 4 tranches de jambon de Bayonne, 4 œufs, 2 piments verts et un piment rouge, 2 à 3 tomates, 1 oignon, 2 gousses d’ail, de la croûte et de la mie de pain de campagne, de l’huile, du piment d’Espelette en poudre, du sel et du poivre.
On fend les piments pour enlever les côtes et les graines ; on les découpe en fines lanières. On ébouillante les tomates, on les pèle et les coupe en quatre. On pèle et on hache l’oignon et l’ail. On fait revenir l’oignon et l’ail dans l’huile, on ajoute les piments, on continue la cuisson pendant environ 5 minutes en remuant bien, puis on ajoute les tomates. On sale, on poivre, on fait cuire une vingtaine de minutes à découvert, dans une grande poêle, en remuant de temps en temps. On ajoute ensuite les lanières de jambon, les œufs battus en omelette et la mie de pain. On ajoute un trait de poudre de piment d’Espelette. On remue jusqu’à ce que les œufs soient pris et l’on sert tout de suite…
Avec ce plat local, il nous faut un vin de même origine. On ouvre un Iroulèguy rouge. Une nappe et des serviettes de linge basque en toile écrue, bordées de lignes bleues et rouges, des assiettes simplement blanches et le vin en carafe. En bout de table, il y a une place pour celui qui nous fait l’honneur d’être notre hôte et de rythmer notre repas : Raul Barboza.
On a décidé de faire une piperade pour déjeuner. C’est un plat typique de la cuisine basque. Il faut compter environ 30 minutes de préparation (20 minutes de cuisine plus 10 minutes pour dresser la table) et 30 minutes de cuisson.
Pour nous accompagner, de la préparation à la dégustation de la piperade, plus le temps du dessert - des fraises Gariguettes au sucre - et d’un café de Colombie, il faut choisir un disque à la fois rustique, chaleureux et convivial. Voyons… voyons… Finalement, ce choix va de soi ; il s’impose avec évidence, d’autant plus que nous avons l’assurance d’un long temps d’écoute et donc de nous installer en toute tranquillité d’esprit dans le monde que nous raconte Raul Barboza. Nous choisissons en effet le coffret de 3 cds :
- "Raul Barboza, L’Anthologie", Frémeaux & Associés / Radio Canada, 1999
- cd 1 : Raul Barboza
- cd 2 : La Tierra sin Mal
- cd 3 : Live at Montmagny
Donc… pour 4 personnes, il faut 4 tranches de jambon de Bayonne, 4 œufs, 2 piments verts et un piment rouge, 2 à 3 tomates, 1 oignon, 2 gousses d’ail, de la croûte et de la mie de pain de campagne, de l’huile, du piment d’Espelette en poudre, du sel et du poivre.
On fend les piments pour enlever les côtes et les graines ; on les découpe en fines lanières. On ébouillante les tomates, on les pèle et les coupe en quatre. On pèle et on hache l’oignon et l’ail. On fait revenir l’oignon et l’ail dans l’huile, on ajoute les piments, on continue la cuisson pendant environ 5 minutes en remuant bien, puis on ajoute les tomates. On sale, on poivre, on fait cuire une vingtaine de minutes à découvert, dans une grande poêle, en remuant de temps en temps. On ajoute ensuite les lanières de jambon, les œufs battus en omelette et la mie de pain. On ajoute un trait de poudre de piment d’Espelette. On remue jusqu’à ce que les œufs soient pris et l’on sert tout de suite…
Avec ce plat local, il nous faut un vin de même origine. On ouvre un Iroulèguy rouge. Une nappe et des serviettes de linge basque en toile écrue, bordées de lignes bleues et rouges, des assiettes simplement blanches et le vin en carafe. En bout de table, il y a une place pour celui qui nous fait l’honneur d’être notre hôte et de rythmer notre repas : Raul Barboza.
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