mercredi 1 mars
« French Touch », ce titre sonne comme la devise musicale de Richard Galliano. En écoutant en effet les disques précédents, on pouvait pressentir que ce « french touch » était comme une sorte de fil rouge, d’abord latent, puis de plus en plus manifeste ; une sorte de direction s’explicitant au fur et à mesure des rencontres, des influences, des compositions et des interprétations.
- « French Touch », Disques Dreyfus, 1998.
Je trouve ce disque étonnant par la présence constante d’un son, d’une couleur sonore qui le signe, alors même que les formations sont à géométrie variable, que les rythmes sont variés, que l’enregistrement a eu lieu sur deux sessions et que les sources d’inspiration sont d’origines diverses. En ce sens, le « french touch » a une fonction de transmutation. L’image de l’alchimie me parait en effet assez juste : tout ce qui passe sous les doigts de Richard Galliano se transforme en « french touch », une forme spécifique de jazz.
Ce disque a été réalisé sur deux sessions : la première avec Jenny-Clark, Humair et Portal, les 8, 9 et 10 mai 1998 ; la deuxième avec Ceccarelli, Vignolo et Ecay, le 8 juin 1998. Parfois, il s’agit de duos (Sanguine avec Jenny-Clark ; Passarinho avec Humair), d’autres fois de trios (Augusta avec Jenny-Clark et Humair ; You Must Believe in Spring avec Ceccarelli et Vignolo), d’autres fois encore de quartets (J.F. avec Jenny-Clark, Humair et Portal ; Bébé ou Sanfona avec Ceccarelli, Vignolo et Ecay ).
Le texte de présentation parle de musette « parigot-rital », de tango, de rythmes brésiliens, de valse manouche… Pendant le titre éponyme du disque « A French Touch », on entend des échos de Gus Viseur, me semble-t-il. On entend aussi déjà les échos à venir du New York Trio… « French Touch » est bien un moment crucial dans le parcours que Richard Galliano nous fait découvrir.
Aujourd’hui, j’ai une affection particulière pour trois titres :
- Sanguine, duo avec Jenny-Clark, contrebasse,
- Passarinho, duo avec Humair, batterie
- A French Touch, trio ave Jenny-Clark et Humair.
- « French Touch », Disques Dreyfus, 1998.
Je trouve ce disque étonnant par la présence constante d’un son, d’une couleur sonore qui le signe, alors même que les formations sont à géométrie variable, que les rythmes sont variés, que l’enregistrement a eu lieu sur deux sessions et que les sources d’inspiration sont d’origines diverses. En ce sens, le « french touch » a une fonction de transmutation. L’image de l’alchimie me parait en effet assez juste : tout ce qui passe sous les doigts de Richard Galliano se transforme en « french touch », une forme spécifique de jazz.
Ce disque a été réalisé sur deux sessions : la première avec Jenny-Clark, Humair et Portal, les 8, 9 et 10 mai 1998 ; la deuxième avec Ceccarelli, Vignolo et Ecay, le 8 juin 1998. Parfois, il s’agit de duos (Sanguine avec Jenny-Clark ; Passarinho avec Humair), d’autres fois de trios (Augusta avec Jenny-Clark et Humair ; You Must Believe in Spring avec Ceccarelli et Vignolo), d’autres fois encore de quartets (J.F. avec Jenny-Clark, Humair et Portal ; Bébé ou Sanfona avec Ceccarelli, Vignolo et Ecay ).
Le texte de présentation parle de musette « parigot-rital », de tango, de rythmes brésiliens, de valse manouche… Pendant le titre éponyme du disque « A French Touch », on entend des échos de Gus Viseur, me semble-t-il. On entend aussi déjà les échos à venir du New York Trio… « French Touch » est bien un moment crucial dans le parcours que Richard Galliano nous fait découvrir.
Aujourd’hui, j’ai une affection particulière pour trois titres :
- Sanguine, duo avec Jenny-Clark, contrebasse,
- Passarinho, duo avec Humair, batterie
- A French Touch, trio ave Jenny-Clark et Humair.
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