lundi 10 juillet
En ce lundi 10 juillet, nous transportons nos pénates pour quelques jours à Hossegor. Par pénates, j’entends divers jouets de Camille et Charlotte, leurs vélos, un autocuiseur, de la confiture, du linge de toilette et de maison, des draps et bien d’autres choses… et bien sûr nos ordinateurs. Comme je suis embarrassé pour faire un choix de disques à emporter au bord de l’océan, dans la villa ouverte aux quatre vents rythmés par les pulsations des marées, je prends un coffret de dix cds d’Astor Piazzolla. Ce coffret m’a toujours intrigué. J’avais en effet relevé son existence parmi des offres d’Alapage. Quasiment pas d’informations ; un prix fort modique ; j’en avais fait l’acquisition. Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire, je crois, dans ce blog, les dix cds sous pochettes noires ne comportent que trois indications : « Astor Piazzolla », le numéro du cd de 1 à 10, le nom en bas à gauche, nom qui est d’ailleurs celui de l’un des titres qui le composent.
Je me propose donc de profiter de ces quelques jours de farniente pour écouter systématiquement chacun des dix disques dans son intégralité, d’autre part de suivre quelques fils rouges (j’ai d’ores et déjà remarqué la présence de certains titres sur plusieurs cds) et enfin de consacrer une écoute aux dix titres éponymes des dix albums.
Je note au dos du coffret les indications suivantes : Membran Music Ltd, Licensed by Pagani Srl / Bella Musica. Aucune date, aucun lieu. En revanche, les dates et les lieux d’enregistrement des différents titres figurent au dos de chaque pochette. Elles vont de 1968 à 1984 en passant par 1972, 74, 75 et 76 ; quant aux lieux, ce sont Buenos-Aires, Milan et Rome. Les formations sont évidemment variables, en général 7, 9 ou 12, avec aussi les orchestres de Milan ou le SWF Rundfunkorchester…
Pour commencer, aujourd’hui j’écoute le cd numéro 1 : Soledad et en particulier son titre éponyme. Je relève les noms d’Antonio Agri, de Jaime Gosis, de Nestor Panik ou d’Arturo Schneider, entre autres. Une mention particulière pour la voix d’Amelita Baltar sur cinq titres, dont Los Paraguas de Buenos Aires et Violetas Populares.
Pour l’écoute « fil rouge », je choisis Balada para un loco (cd 2 - 1, cd 3 – 7 et cd 10 – 11). J’y reviendrai pour dire un mot des interprétations.
Je me propose donc de profiter de ces quelques jours de farniente pour écouter systématiquement chacun des dix disques dans son intégralité, d’autre part de suivre quelques fils rouges (j’ai d’ores et déjà remarqué la présence de certains titres sur plusieurs cds) et enfin de consacrer une écoute aux dix titres éponymes des dix albums.
Je note au dos du coffret les indications suivantes : Membran Music Ltd, Licensed by Pagani Srl / Bella Musica. Aucune date, aucun lieu. En revanche, les dates et les lieux d’enregistrement des différents titres figurent au dos de chaque pochette. Elles vont de 1968 à 1984 en passant par 1972, 74, 75 et 76 ; quant aux lieux, ce sont Buenos-Aires, Milan et Rome. Les formations sont évidemment variables, en général 7, 9 ou 12, avec aussi les orchestres de Milan ou le SWF Rundfunkorchester…
Pour commencer, aujourd’hui j’écoute le cd numéro 1 : Soledad et en particulier son titre éponyme. Je relève les noms d’Antonio Agri, de Jaime Gosis, de Nestor Panik ou d’Arturo Schneider, entre autres. Une mention particulière pour la voix d’Amelita Baltar sur cinq titres, dont Los Paraguas de Buenos Aires et Violetas Populares.
Pour l’écoute « fil rouge », je choisis Balada para un loco (cd 2 - 1, cd 3 – 7 et cd 10 – 11). J’y reviendrai pour dire un mot des interprétations.
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