vendredi 7 juillet
J’apprécie beaucoup « Sandunga », j’apprécie même tellement le jeu de René Sopa à l’accordéon que j’étais persuadé de lui avoir consacré au moins une page de mon blog. En fait, une recherche rapide m’a montré que je ne l’avais mentionné qu’à deux reprises à propos de sélections d’accordéon – jazz que j’avais faites à mon usage personnel. Il s’agissait de deux titres : Pensées Jazz et Mister Richard, qui figurent dans ces deux sélections.
Ces deux mentions ne rendent pas compte de l’intérêt que je porte au disque de René Sopa ni du plaisir que j’éprouve à son écoute. Même si cela parait anecdotique, je dois dire d'abord que j’aime beaucoup la couverture de « Sandunga » : Les trois quarts de la couverture sont noirs avec ces seules lettres au milieu, horizontalement : rené sopa en blanc et sandunga en rouge et en italiques. Sur la partie gauche, de haut en bas, le visage de René Sopa et sa main droite sur son clavier. Couleurs orangé et or. Discrétion, rigueur, introversion. Il joue sur un accordéon Bonifassi.
J’apprécie particulièrement dans ce disque l’homogénéité des compositions et des interprétations. J’apprécie aussi la complexité des orchestrations et le son propre à René Sopa. Parfois je pense à Galliano (Mister Richard, Pensées Jazz), parfois je pense à Hermeto Pascoal (Sol do Algarve), parfois à d’autres rapprochements possibles avec du latin jazz, mais dans tous les cas, on ne peut s’y tromper, il s’agit bien d’un musicien qui a un style propre, qu’il s’agisse de ses compositions originales ou de ses interprétations.
Pour écrire cette page, j’ai écouté à nouveau « Sandunga » et aujourd’hui, sans faire un palmarès, je dois dire que je suis particulièrement sensible aux titres suivants : Sandunga, Impasse des lavandes, La valse du soleil, Grito et Odéon (d’Ernesto Nazareth).
En tout cas, c’est pour moi un grand disque d’accordéon si j’en juge par le plaisir que j’y trouve. Un dernier mot pour dire qu’outre l’accordéon en tant que tel, j’apprécie aussi son alliance ici avec des percussions, là avec la contrebasse, ailleurs encore avec le saxophone. C’est en ce sens que j’évoquais la complexité des orchestrations.
- « Sandunga », René Sopa, 2002 René Sopa, 2002 Le Chant du Monde. Réalisation de septembre 2001 à mai 2002. Enregistrement et mixage : studio René Sopa à Cannes. A noter que René Sopa joue sur ce disque de l’accordéon, de l’accordina et des percussions.
Ces deux mentions ne rendent pas compte de l’intérêt que je porte au disque de René Sopa ni du plaisir que j’éprouve à son écoute. Même si cela parait anecdotique, je dois dire d'abord que j’aime beaucoup la couverture de « Sandunga » : Les trois quarts de la couverture sont noirs avec ces seules lettres au milieu, horizontalement : rené sopa en blanc et sandunga en rouge et en italiques. Sur la partie gauche, de haut en bas, le visage de René Sopa et sa main droite sur son clavier. Couleurs orangé et or. Discrétion, rigueur, introversion. Il joue sur un accordéon Bonifassi.
J’apprécie particulièrement dans ce disque l’homogénéité des compositions et des interprétations. J’apprécie aussi la complexité des orchestrations et le son propre à René Sopa. Parfois je pense à Galliano (Mister Richard, Pensées Jazz), parfois je pense à Hermeto Pascoal (Sol do Algarve), parfois à d’autres rapprochements possibles avec du latin jazz, mais dans tous les cas, on ne peut s’y tromper, il s’agit bien d’un musicien qui a un style propre, qu’il s’agisse de ses compositions originales ou de ses interprétations.
Pour écrire cette page, j’ai écouté à nouveau « Sandunga » et aujourd’hui, sans faire un palmarès, je dois dire que je suis particulièrement sensible aux titres suivants : Sandunga, Impasse des lavandes, La valse du soleil, Grito et Odéon (d’Ernesto Nazareth).
En tout cas, c’est pour moi un grand disque d’accordéon si j’en juge par le plaisir que j’y trouve. Un dernier mot pour dire qu’outre l’accordéon en tant que tel, j’apprécie aussi son alliance ici avec des percussions, là avec la contrebasse, ailleurs encore avec le saxophone. C’est en ce sens que j’évoquais la complexité des orchestrations.
- « Sandunga », René Sopa, 2002 René Sopa, 2002 Le Chant du Monde. Réalisation de septembre 2001 à mai 2002. Enregistrement et mixage : studio René Sopa à Cannes. A noter que René Sopa joue sur ce disque de l’accordéon, de l’accordina et des percussions.
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