mercredi 11 octobre
Hier, en fin de soirée, nous avons roulé entre 21 h. et 22 h 30 pour rejoindre Hossegor, où nous avions un rendez-vous ce matin, de bonne heure. En quittant le péage de l’autoroute à Pau, j’ai mis le disque de Serge Lama, « Accordéonissi-mots » dans le lecteur de cd ; en arrivant à l’entrée d’Hossegor, nous en étions au titre 18, « Femme, femme, femme », nous avons donc décidé de faire le tour du lac de telle sorte que le vingtième et dernier titre s’achevait au moment précis où nous arrivions à bon port.
Cette situation est certes banale, mais l’expérience nous a paru intéressante. La nuit était très noire, il y avait peu de circulation, si bien que petit à petit nous avons eu l’impression de faire partie de ce public avec lequel Serge Lama entretient une vraie complicité. Son narcissisme assumé et bon enfant nous a amusés. Nous avons été particulièrement sensibles à deux titres : « Les jardins ouvriers » et « L’Algérie ». D’autres chansons, plus connues, sur ses relations avec les femmes nous ont paru plus banales.
L’enregistrement, réalisé au théâtre Marigny comporte toute la chaleur et tous les petits défauts du direct. Sans doute que les propos de Serge Lama ont été longuement préparés, mais cela n’enlève rien à leur couleur sympathique.
La présence et le travail de Sergio Tomassi nous ont beaucoup intéressés, même s’il nous a semblé en retrait par rapport à ce qu’il aurait pu être, probablement pour ne pas déranger le public de Serge Lama dans ses habitudes.
Les conditions d’écoute de ce disque ont installé un contexte propice pour entrer dans le monde de Serge Lama, que nous connaissions en fait très peu…
Cette situation est certes banale, mais l’expérience nous a paru intéressante. La nuit était très noire, il y avait peu de circulation, si bien que petit à petit nous avons eu l’impression de faire partie de ce public avec lequel Serge Lama entretient une vraie complicité. Son narcissisme assumé et bon enfant nous a amusés. Nous avons été particulièrement sensibles à deux titres : « Les jardins ouvriers » et « L’Algérie ». D’autres chansons, plus connues, sur ses relations avec les femmes nous ont paru plus banales.
L’enregistrement, réalisé au théâtre Marigny comporte toute la chaleur et tous les petits défauts du direct. Sans doute que les propos de Serge Lama ont été longuement préparés, mais cela n’enlève rien à leur couleur sympathique.
La présence et le travail de Sergio Tomassi nous ont beaucoup intéressés, même s’il nous a semblé en retrait par rapport à ce qu’il aurait pu être, probablement pour ne pas déranger le public de Serge Lama dans ses habitudes.
Les conditions d’écoute de ce disque ont installé un contexte propice pour entrer dans le monde de Serge Lama, que nous connaissions en fait très peu…
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