dimanche 25 février
Dans la continuité d’hier, j’ai décidé aujourd’hui encore, de nous faire un « Trentels ». Sans être excessivement content de moi, je trouve que c’est une bonne idée. En tout cas, c’est l’occasion pour la réaliser de réécouter attentivement Karin Küstner, René Sopa, Motion Trio, le Trio PSP et René Lacaille et, du coup, de faire des rencontres plus ou moins inattendues. J’ai décidé de m’en tenir à un seul morceau pour chaque interprète et ce n’est pas facile, mais j’ai déjà matière pour d’autres « Trentels ».
- Karin Küstner, « Disco Toccata » de Petri Makkonen ; un morceau de toute évidence complexe et à la limite de l’exercice de style.
- René Sopa, « Paris anachronique » in « Nuits parisiennes » ; un morceau étrange, le dernier de l’album, et qui me semble ouvrir la voie vers d’autres inspirations. Quelque chose comme la transition avec un album à venir.
- Motion Trio, « Yellow Trabant » in « Play station ». L’humour polonais, entre Eisenstein et Nino Rota, par trois virtuoses de l’accordéon acoustique. Fellini juste après la chute du mur de Berlin.
- Trio PSP, « Valsecito Amigo » in « Las siluetas portenas ». Je ne sais s’il faudrait parler de retour aux sources, en tout cas il y a bien quelque chose d’originel dans le jeu du trio : café de Buenos Aires, lumière tamisée par la fumée des cigares, velours des banquettes et reflets dorés des sols cirés par les pas des danseurs. Chaque titre est comme un fusain définitif. Un art introverti.
- René Lacaille, « Dalonaz » in « Mapou ». Un art extraverti. Une mélodie qui pourrait durer des heures et qui, en tout cas, continue de résonner dans nos oreilles longtemps après ses dernières notes. Même si l’on est dans un autre univers que dans le disque précédent, on a ici aussi affaire à quelque chose d’originel.
- Karin Küstner, « Disco Toccata » de Petri Makkonen ; un morceau de toute évidence complexe et à la limite de l’exercice de style.
- René Sopa, « Paris anachronique » in « Nuits parisiennes » ; un morceau étrange, le dernier de l’album, et qui me semble ouvrir la voie vers d’autres inspirations. Quelque chose comme la transition avec un album à venir.
- Motion Trio, « Yellow Trabant » in « Play station ». L’humour polonais, entre Eisenstein et Nino Rota, par trois virtuoses de l’accordéon acoustique. Fellini juste après la chute du mur de Berlin.
- Trio PSP, « Valsecito Amigo » in « Las siluetas portenas ». Je ne sais s’il faudrait parler de retour aux sources, en tout cas il y a bien quelque chose d’originel dans le jeu du trio : café de Buenos Aires, lumière tamisée par la fumée des cigares, velours des banquettes et reflets dorés des sols cirés par les pas des danseurs. Chaque titre est comme un fusain définitif. Un art introverti.
- René Lacaille, « Dalonaz » in « Mapou ». Un art extraverti. Une mélodie qui pourrait durer des heures et qui, en tout cas, continue de résonner dans nos oreilles longtemps après ses dernières notes. Même si l’on est dans un autre univers que dans le disque précédent, on a ici aussi affaire à quelque chose d’originel.
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