mercredi, février 21, 2007

mercredi 21 février

Après quelques jours passés à Cauterets, « les petits » se sont installés à Pau avant de rejoindre Toulouse et les tâches quotidiennes. La maison est pleine d’animation et ça s’agite comme dans une ruche. Les grands sont comme vissés à leurs ordinateurs ; Charlotte et Camille n’ont de cesse de jouer à l’école. L’intendance nous laisse peu de loisirs. Assez cependant pour aller voir et écouter une vidéo repérée par Nadja. Je note l’adresse ci-dessous. Il s’agit d’un moment live, en fait le final, de l’émission de Frédéric Taddeï, « Ce soir (ou jamais) », émission de FR3 plutôt branchée culture et, en tout cas, très parisienne. Les invités sont tous des gens qui savent causer dans les machines acoustiques et bouger devant les machines cinématographiques. Rien que des professionnels des media. Pas de surprises, ou presque pas ; ça roule.

Richard Galliano interprète « Tangaria » en quartet. Je n’identifie pas le violoniste. Recherche en cours…

http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/article.php?id_article=186&id_rubrique=79&video=20070214_live.wmv


Ce matin, j’ai reçu un disque que j’avais commandé à Alapage depuis le 5 février. Il s’agit de « Salsamba ». En ouvrant le colissimo, je découvre un disque intitulé « Chet Baker and the boto brazilian quartet », mais, vérification faite, il s’agit bien du même disque. Entre temps, depuis le 5 de ce mois donc, sur le catalogue Alapage, la couverture a changé. En fait, il s’agit d’une réédition, de 1999, de la version remixée en 1991 de la première version enregistrée au studio Davout les 21, 22 et 23 juillet 1980. C’est d’abord un disque de Chet Baker. A l’intérieur, une dizaine de lignes de Richard Galliano, signées de février 1991, et une photographie où on le voit, hilare, en 1880, avec José Boto. Il est moustachu, barbu, hirsute et mince. Depuis, plus de vingt-cinq ans ont passé… Comme je manque de temps, je n’ai pu écouter les huit titres qu’en diagonale ; assez cependant pour me demander où se trouve Richard Galliano… Est-ce une illusion ? Enquête en cours… De toute façon, Chet Baker justifierait à lui seul l’écoute de cet album.

Je note, à la guitare basse, Michel Peyratout. Je me rappelle que, dans le dernier Perrone, il figure à la contrebasse et à la guitare basse.