vendredi 2 février
Journée quasiment sans soleil avec des moments de froid. Nous avions quelques projets du côté des boutiques de Toulouse avec Françoise, mais Camille et Charlotte jouent Gastro et Broncho, si bien que nous nous en sommes tenus à un projet unique : les garder au chaud devant la télévision, les persuader de prendre les remèdes prescrits par le médecin, leur préparer des compotes aux quatre pommes ou des bananes en fines rondelles. Maintenant, je connais bien « Tiji » et j’ai vu et revu plusieurs fois les aventures de « Sissi »… Quel régal ! Il y a aussi « Les 101 Dalmatiens » ou « Charlie et la chocolaterie »… Un vrai festival !
Avec la soirée arrive un peu de calme et l’envie d’écouter quelque chose qui me ferait plaisir. Les conditions ne sont pas optimales, néanmoins en cherchant parmi les morceaux enregistrés sur mon ordinateur et avec un casque de bonne qualité, je trouve mon bonheur :
- « l’éphémère, quatuor », 2 :58
- « l’éphémère, duo bayan », 2 :36
Il s’agit de deux versions de cette composition, que Jacques Pellarin m’avait envoyées successivement il y a quelques semaines. Pour le coup, alors que d’habitude je préfère l’écoute avec des baffles extérieurs, en l’occurrence l’écoute au casque me permet de m’isoler et d’entrer dans le monde de « l’éphémère » et cela suffit à marquer la journée d’une pierre blanche.
Je me dis que Jacques Pellarin, en trio, quartet ou quintet, un soir de mai à Trentels, ce serait vraiment bien.
Avec la soirée arrive un peu de calme et l’envie d’écouter quelque chose qui me ferait plaisir. Les conditions ne sont pas optimales, néanmoins en cherchant parmi les morceaux enregistrés sur mon ordinateur et avec un casque de bonne qualité, je trouve mon bonheur :
- « l’éphémère, quatuor », 2 :58
- « l’éphémère, duo bayan », 2 :36
Il s’agit de deux versions de cette composition, que Jacques Pellarin m’avait envoyées successivement il y a quelques semaines. Pour le coup, alors que d’habitude je préfère l’écoute avec des baffles extérieurs, en l’occurrence l’écoute au casque me permet de m’isoler et d’entrer dans le monde de « l’éphémère » et cela suffit à marquer la journée d’une pierre blanche.
Je me dis que Jacques Pellarin, en trio, quartet ou quintet, un soir de mai à Trentels, ce serait vraiment bien.
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