samedi 7 avril
De l’intérêt de savoir modifier ses projets initiaux sans y renoncer…
Comme je l’avais noté hier, nous avions projeté avec Françoise d’écouter « Champlong » en boucle, suivant notre pratique habituelle quand nous découvrons un album dont nous attendons beaucoup. Nul paradoxe dans cette proposition : quand on découvre en effet un album, la plupart du temps on dispose en préalable d’informations qui orientent l’attente. Rares sont les découvertes au sens strict du terme. Ces a priori positifs s’appliquent par exemple à Galliano, à Piazzolla, à Perrone, à Mille, à Barboza, à Amestoy, à Macias… et donc à Jacques Pellarin.
Mais ce projet n’ayant pu se réaliser du fait de circonstances défavorables, nous avons opté pour une écoute homéopathique, mais avec des prises les plus fréquentes possibles. Du coup, les titres sont moins inclus dans le contexte de l’album et ils sont mieux individualisés. Je dirais qu’en quelque sorte on évite ainsi l’effet de halo des morceaux entre eux. Et je viens précisément de me rendre compte que cet effet de halo est beaucoup plus prégnant que je l’imaginais.
C’est ainsi que l’écoute de morceaux « forts » comme « Champlong » ou « L’éphémère » influence assurément celle des titres contigus. J’entends par morceaux « forts » des morceaux dont la composition et l’interprétation laissent des traces bien au-delà du temps de leur audition. Débarrassé de cette influence, sans l’avoir explicitement prévu, j’ai mieux écouté et apprécié « Prinsengracht », « Mémoire d’Anna » ou « Rue Corinne »… J’en tire une conséquence pratique, presque une règle, à savoir qu’après avoir écouté un album deux ou trois fois, je continuerai mon exploration par des écoutes en mode « lecture aléatoire » pour dénouer les liens de proximité qui attachent certains titres entre eux, créant naturellement cet effet de halo dont je viens de prendre conscience. Effet ambigu puisqu’il contribue à mettre du lien et du sens entre les pièces d’un album, mais aussi a contrario à faire peser certains titres sur leurs voisins.
Comme je l’avais noté hier, nous avions projeté avec Françoise d’écouter « Champlong » en boucle, suivant notre pratique habituelle quand nous découvrons un album dont nous attendons beaucoup. Nul paradoxe dans cette proposition : quand on découvre en effet un album, la plupart du temps on dispose en préalable d’informations qui orientent l’attente. Rares sont les découvertes au sens strict du terme. Ces a priori positifs s’appliquent par exemple à Galliano, à Piazzolla, à Perrone, à Mille, à Barboza, à Amestoy, à Macias… et donc à Jacques Pellarin.
Mais ce projet n’ayant pu se réaliser du fait de circonstances défavorables, nous avons opté pour une écoute homéopathique, mais avec des prises les plus fréquentes possibles. Du coup, les titres sont moins inclus dans le contexte de l’album et ils sont mieux individualisés. Je dirais qu’en quelque sorte on évite ainsi l’effet de halo des morceaux entre eux. Et je viens précisément de me rendre compte que cet effet de halo est beaucoup plus prégnant que je l’imaginais.
C’est ainsi que l’écoute de morceaux « forts » comme « Champlong » ou « L’éphémère » influence assurément celle des titres contigus. J’entends par morceaux « forts » des morceaux dont la composition et l’interprétation laissent des traces bien au-delà du temps de leur audition. Débarrassé de cette influence, sans l’avoir explicitement prévu, j’ai mieux écouté et apprécié « Prinsengracht », « Mémoire d’Anna » ou « Rue Corinne »… J’en tire une conséquence pratique, presque une règle, à savoir qu’après avoir écouté un album deux ou trois fois, je continuerai mon exploration par des écoutes en mode « lecture aléatoire » pour dénouer les liens de proximité qui attachent certains titres entre eux, créant naturellement cet effet de halo dont je viens de prendre conscience. Effet ambigu puisqu’il contribue à mettre du lien et du sens entre les pièces d’un album, mais aussi a contrario à faire peser certains titres sur leurs voisins.
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home