mardi 1er mai
Studium. En lisant le livret sur le tango, que l’on pouvait se procurer à l’issue du concert donné à « L’Ampli », j’ai appris plusieurs choses. J’en retiens trois :
- « Orquesta Tipica » est le nom donné, dans les années 20, à un certain type d’orchestre pour le distinguer de ceux qui jouaient dans les bals principalement des polkas ou des mazurkas. Cette dénomination est apparue pour la première fois en 1913 sous la forme, proposée par Vicente Greco, de Orquesta Tipica especifica de Tango. A la fin des années trente, la formation Tipica est générale pour le Tango.
- Le nom « Imperial » vient de l’idée d’un joueur de bandonéon au moment de la création de l’orchestre en 1999. C’est la marque d’une bière et aussi d’un dessert à base de crème et de meringue. De manière générale, ce terme désigne quelque chose de « rétro », « kitch », voire « pompeux ». C’est aussi le nom de beaucoup de confiterias et de pizzerias. Le choix de cette dénomination dit assez bien l’humour de la formation. Matilde Vitullo ajoute qu’il doit rester clair que, malgré cette dénomination, la Imperial est anti-impérialiste. Plusieurs compositions originales en donnent la preuve, comme « A Salvador Allende », « Tango para Guevara », etc…
- Parmi les influences que l’Orquesta se reconnaît, il y a Pugliese, sa référence majeure, Troilo et Di Sarli, mais aussi Brahms et Debussy, les Pink Floyd et le folklore argentin. J’ai appris aussi que l’on situe le tango dans la lignée de musiques comme la habanera, la milonga et le candombe, ce qui est assez dire sa nature métisse et sans doute sa vitalité.
Etant donné le nombre de ses membres, dix (avec le chanteur, absent à Pau), la composition de l’orchestre a souvent changé, mais son esprit et son style demeure. J’ai l’intuition que Matilde Vitullo joue dans cette permanence un rôle prépondérant, tant par ses compositions que par sa présence dans les arrangements. Quelque chose comme l’âme de l’Imperial…
- « Orquesta Tipica » est le nom donné, dans les années 20, à un certain type d’orchestre pour le distinguer de ceux qui jouaient dans les bals principalement des polkas ou des mazurkas. Cette dénomination est apparue pour la première fois en 1913 sous la forme, proposée par Vicente Greco, de Orquesta Tipica especifica de Tango. A la fin des années trente, la formation Tipica est générale pour le Tango.
- Le nom « Imperial » vient de l’idée d’un joueur de bandonéon au moment de la création de l’orchestre en 1999. C’est la marque d’une bière et aussi d’un dessert à base de crème et de meringue. De manière générale, ce terme désigne quelque chose de « rétro », « kitch », voire « pompeux ». C’est aussi le nom de beaucoup de confiterias et de pizzerias. Le choix de cette dénomination dit assez bien l’humour de la formation. Matilde Vitullo ajoute qu’il doit rester clair que, malgré cette dénomination, la Imperial est anti-impérialiste. Plusieurs compositions originales en donnent la preuve, comme « A Salvador Allende », « Tango para Guevara », etc…
- Parmi les influences que l’Orquesta se reconnaît, il y a Pugliese, sa référence majeure, Troilo et Di Sarli, mais aussi Brahms et Debussy, les Pink Floyd et le folklore argentin. J’ai appris aussi que l’on situe le tango dans la lignée de musiques comme la habanera, la milonga et le candombe, ce qui est assez dire sa nature métisse et sans doute sa vitalité.
Etant donné le nombre de ses membres, dix (avec le chanteur, absent à Pau), la composition de l’orchestre a souvent changé, mais son esprit et son style demeure. J’ai l’intuition que Matilde Vitullo joue dans cette permanence un rôle prépondérant, tant par ses compositions que par sa présence dans les arrangements. Quelque chose comme l’âme de l’Imperial…
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