samedi, avril 21, 2007

dimanche 22 avril












Hier, samedi, la journée s’annonçait belle. Grand beau temps. Les fleurs s’ouvrent à profusion. A dix heures trente, je trouve dans la boite à lettres un envoi d’Alapage :

- « Versatile », Jean Corti, 2007 Mon Slip. Corti, c’est du lourd ! Un vieux routier qui n’a pas peur des jeunes.
- « Soledad », 2001, Soledad Productions. Soledad, c’est de la précision. Les jeunes qui n’ont pas peur des vieux. Il faut entendre comment ils jouent Piazzolla, Galliano ou Stravinsky.

Vers midi, il nous prend une petite flemme au moment de préparer le déjeuner, de sortir la vaisselle et les couverts ; bref, nous décidons d’aller manger au « Goya » où décidément nous faisons partie des habitués.

Un peu avant deux heures après-midi, nos pas nous conduisent jusqu’à la Fnac où un disque de Beier nous fait signe :

- « Chilltimes, Ludovic Beier New Quartet ». 2006 City Records, 2007 Le chant du monde. Du musette au jazz. La pochette fait penser à « Ruby, My Dear » du New York Trio de Richard Galliano. Beier, l’accordéoniste qui n’a pas peur des jazzmen new-yorkais.

Tout ça nous promet bien des plaisirs différents.

… Et puis, chemin faisant, alors qu’avec Françoise nous faisions cette observation que Pau est vraiment une ville de palmiers (il y en a partout, dans des parcs publics et privés, le long du boulevard des Pyrénées, dans la montée de la palmeraie, aux ronds-points des avenues, autour de la gare, etc…), et que les palmiers ça fleure bon l'exotisme et le dépaysement, notre attention fut attirée par une « chose » informe, un amas de couvertures contre un conteneur de déchets. A bien y regarder, il n’y avait aucun doute possible : c’était un homme…

Finalement, j’attendrai un peu pour écouter les trois disques.