lundi, septembre 10, 2007

lundi 10 septembre

… J’ai commencé ce matin à télécharger les morceaux proposés sur le site de Radu Zaplitnii sous le titre générique : « Radu Zaplitnii Quintet ». Je continue, comme au moment où je l’ai découvert, à apprécier cet accordéoniste et c’est un vrai plaisir de prendre le temps d’écouter chacun des morceaux avant de l’enregistrer, puis immédiatement après l’avoir enregistré. Je prends mon temps et cela s’ajoute au plaisir de l’écoute.

http://www.zaplitnii.com/info/audio/it

… Cet après-midi, nous sommes allés faire quelques courses de première utilité à l’hypermarché Leclerc et, suivant une bonne habitude, nous avons prolongé cette obligation par un détour du côté de l’espace culturel. Un disque, que nous avions commandé depuis quelques jours déjà, nous y attendait :

- « Le Funambule / Daniel Mille », 1999, Saravah, Night & Day.

J’avais découvert cet album un peu par hasard en examinant la discographie de Daniel Mille. Il avait longtemps échappé à mon attention. Nous l’avons écouté avec grand plaisir. Tout ne nous plait pas également, mais ce qui nous plait suffit largement à notre bonheur. J’ai aimé en particulier tous ces moments où Daniel Mille accompagne son accordéon de la voix. Mais je pourrais citer bien d’autres moments. L’un des textes parle d’accordéon et de bistrot.
Interviennent dans cet album, Daniel Mille, accordéon, accordina, voix et piano, Jean-Christophe Maillard, guitares, piano, voix et percussions, Minino Garay, percussions et voix, Daniel Goyone, piano, David Lynx, Pierre Barouh et Jean-Louis Trintignant, voix. Excusez du peu ! En tout cas, ce sont des complices que l’on retrouve dans plusieurs disques de daniel Mille. Continuité de l’inspiration, continuité des amitiés.

J’ai noté que Daniel Mille joue sur accordéon Cavagnolo Compact Plus, sur un Cavagnolo Vedette 10 SK prêté par Richard Galliano, sur un Pigini basse prêté par André Thépaz, sur un Royal Standard rouge prêté par Marie-Pierre Le Bail et sur un accordina André Borel. Cette liste est certes intéressante au plan informatif, mais aussi au plan symbolique. Je la lis comme le signe d’une vraie communauté rassemblée par la passion de l’accordéon.