dimanche 21 octobre - des airs belges
… écouté à deux reprises “[Pô-Z]s”, le dernier opus de Didier Laloy. Ces deux écoutes confirment mon impression première, à savoir que cet album exprime clairement un univers original. Les différents morceaux, bien loin de n’être qu’une somme, contribuent à la cohérence de l’ensemble. Ils se répondent et se font écho, si bien qu’au fur et à mesure de l’écoute, c’est comme si chaque nouveau morceau incitait à réinterpréter les autres.
Comme je l’avais noté pour un disque précédent, Didier Laloy me parait beaucoup plus présent comme compositeur et, si j’ose dire, comme metteur en scène ou meneur de jeu ou chef d’orchestre que comme instrumentiste. Chacune de ses interventions semble destinée à mettre les autres instruments en valeur bien plus qu’à se mettre lui-même en avant.
Pour aujourd’hui, nos préférences vont vers « Indian Blues » et surtout « L’école du Cirque », qui fait penser à l’univers de Fellini. Mais « The fishfeeding wheel » est aussi très fascinant par ses ruptures de tons et de climats. Encore un effort et je vais finalement trouver un charme particulier à chaque titre.
Comme je l’avais noté pour un disque précédent, Didier Laloy me parait beaucoup plus présent comme compositeur et, si j’ose dire, comme metteur en scène ou meneur de jeu ou chef d’orchestre que comme instrumentiste. Chacune de ses interventions semble destinée à mettre les autres instruments en valeur bien plus qu’à se mettre lui-même en avant.
Pour aujourd’hui, nos préférences vont vers « Indian Blues » et surtout « L’école du Cirque », qui fait penser à l’univers de Fellini. Mais « The fishfeeding wheel » est aussi très fascinant par ses ruptures de tons et de climats. Encore un effort et je vais finalement trouver un charme particulier à chaque titre.
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