vendredi 12 octobre - lautari
Après quelques heures de travail intellectuel, l’envie m’a pris de prendre un peu l’air. C’est ainsi que mes pas m’ont conduit presque automatiquement jusqu’à l’espace culturel de l’hypermarché, ses caddies, ses promotions « marque repères » et sa défense du consommateur. Et de manière encore plus automatique, ils m’ont conduit vers les rayons de disques. Je note que conformément à la politique de l’enseigne un lot de musique kletzmer a été mis en exposition « nouveautés » et un lot de musique venue de Roumanie a été ajouté au rayon des musiques d’Europe centrale. J’y vois de l’accordéon, mais le plus souvent en position d’accompagnement, ce qui ne suffit pas pour me décider à en acquérir un ou deux.
Avant de partir cependant, un disque attire mon attention : « Lautari de Bucarest » avec trois noms qui me sont familiers : Ionica Minune, Panseluta Feraru et Pane Marinache. Je connais Panseluta Feraru en particulier par un disque de grande qualité, "Chants lautar de Bucarest" avec son mari, Constantin Lacatus, à l'accordéon. Je connais Ionica Minune par deux ou trois disques et j'apprécie beaucoup le son de son Weltmeister. Petit prix : 8,99 euros. L’accordéon n’est pas l’interprète principal dans la majorité des titres, mais une première écoute, où je retrouve le son de Minune et son toucher, emporte ma décision.
De retour à la maison, je vérifie que ce n’est pas un disque très novateur et qu’il ne m’apporte rien que je ne sache déjà sur cette musique des lautari de Bucarest, mais il est agréable à écouter et retrouver Minune est toujours un grand plaisir. Je ne sais pourquoi, mais je trouve le son de son accordéon « boisé » et son style tout en glissements et décalages.
- « Lautari de Bucarest », 2007 Iris Music, distribution Harmonia Mundi.
Avec Roberto de Brasov et le "Taraf de Haïdouks" voilà de quoi se donner un joli panorama de cette musique née à Bucarest ou alentour, auquel j'ajoute volontiers Martin Lubenov, sans doute le plus novateur de l'ensemble.
Bien entendu, on trouve sur YouTube des vidéos sur les lautari, sur le "Taraf", sur le Martin Lubenov Orkestar et sur Minune, par exemple en compagnie de Martin Mexicanu.
Avant de partir cependant, un disque attire mon attention : « Lautari de Bucarest » avec trois noms qui me sont familiers : Ionica Minune, Panseluta Feraru et Pane Marinache. Je connais Panseluta Feraru en particulier par un disque de grande qualité, "Chants lautar de Bucarest" avec son mari, Constantin Lacatus, à l'accordéon. Je connais Ionica Minune par deux ou trois disques et j'apprécie beaucoup le son de son Weltmeister. Petit prix : 8,99 euros. L’accordéon n’est pas l’interprète principal dans la majorité des titres, mais une première écoute, où je retrouve le son de Minune et son toucher, emporte ma décision.
De retour à la maison, je vérifie que ce n’est pas un disque très novateur et qu’il ne m’apporte rien que je ne sache déjà sur cette musique des lautari de Bucarest, mais il est agréable à écouter et retrouver Minune est toujours un grand plaisir. Je ne sais pourquoi, mais je trouve le son de son accordéon « boisé » et son style tout en glissements et décalages.
- « Lautari de Bucarest », 2007 Iris Music, distribution Harmonia Mundi.
Avec Roberto de Brasov et le "Taraf de Haïdouks" voilà de quoi se donner un joli panorama de cette musique née à Bucarest ou alentour, auquel j'ajoute volontiers Martin Lubenov, sans doute le plus novateur de l'ensemble.
Bien entendu, on trouve sur YouTube des vidéos sur les lautari, sur le "Taraf", sur le Martin Lubenov Orkestar et sur Minune, par exemple en compagnie de Martin Mexicanu.
1 Comments:
Bonsoir Michel
Je passais par là, j'ai vu de la lumière et il y avait comme un air de musique...un joli moment en somme ! :-)
je repasserai !
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