vendredi 3 mars
« Face to Face »… Un duo entre Eddy Louiss et Richard Galliano.
Il y avait déjà eu « Blues sur Seine » avec Capon, « Blow Up » avec Portal… Plus tard, il y aura « Concerts » toujours avec Portal. Parmi les titres de « French Touch », on avait aussi noté deux duos, d’une part avec Jenny-Clark, d’autre part avec Humair. Chaque fois la rencontre est singulière.
Ici, l’accordéon (Victoria) ou le bandonéon (AA) dialoguent avec un orgue Hammond. Evidemment, la sonorité qui en résulte est bien spécifique et à nulle autre semblable. D’autant plus qu’elle se croise avec une dominante de couleurs brésiliennes : Cavaquinho, Vinicius de Moraes, Baden Powell. Parmi les différents titres, deux ont comme un air de nostalgie : Sous le ciel de Paris et Avec le temps. Je n’ai reconnu qu’un titre déjà présent sur des disques précédents : Laurita, ce qui ajoute à la spécificité de ce disque.
- « Face to Face », Eddy Louiss, Richard Galliano, Dreyfus Jazz, 2001.
A l’intérieur du livret, Louiss et Galliano dans la posture de deux personnages hilares, tout à leur complicité, et un clin d’oeil : on les voit se photographier réciproquement. Une complicité en miroir ?
Il y avait déjà eu « Blues sur Seine » avec Capon, « Blow Up » avec Portal… Plus tard, il y aura « Concerts » toujours avec Portal. Parmi les titres de « French Touch », on avait aussi noté deux duos, d’une part avec Jenny-Clark, d’autre part avec Humair. Chaque fois la rencontre est singulière.
Ici, l’accordéon (Victoria) ou le bandonéon (AA) dialoguent avec un orgue Hammond. Evidemment, la sonorité qui en résulte est bien spécifique et à nulle autre semblable. D’autant plus qu’elle se croise avec une dominante de couleurs brésiliennes : Cavaquinho, Vinicius de Moraes, Baden Powell. Parmi les différents titres, deux ont comme un air de nostalgie : Sous le ciel de Paris et Avec le temps. Je n’ai reconnu qu’un titre déjà présent sur des disques précédents : Laurita, ce qui ajoute à la spécificité de ce disque.
- « Face to Face », Eddy Louiss, Richard Galliano, Dreyfus Jazz, 2001.
A l’intérieur du livret, Louiss et Galliano dans la posture de deux personnages hilares, tout à leur complicité, et un clin d’oeil : on les voit se photographier réciproquement. Une complicité en miroir ?
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