lundi 15 mai
C’est un disque étrange, difficile à classer :
- « Sur la route des tornades… », Quanta Music, 2004, L’envers du décor distribution.
Ils sont sept musiciens :
- A. Reynard, guitare
- C. Moravia, contrebasse
- I. El Malhelkh, accordéon
- I. Spitz, oud
- K. Arnold, bendir
- S. Hamadi, percussions
- Y. Lester, saxophones
Il est difficile d’identifier un leader. Ce ne sont que dialogues à deux ou à trois : accordéon, guitare ; accordéon, contrebasse ; accordéon, oud ; accordéon, bendir, percussions ; accordéon, saxophone, contrebasse. Il est difficile également de définir le style de ce disque, où l’on entend quelque chose qui pourrait ressembler aux frémissements du « Voyage de Sahar » sur les deux premiers titres avant de recevoir en plein visage des fulgurances dignes de « Navigators » ou des délires dignes de « Pictures from the Street » pour finir dans un climat proche du dernier D. Mille, « Après la pluie ».
Les sept titres ont une durée à peu près constante : 7 :15-7 :45. Cette régularité contribue beaucoup à installer l’atmosphère du disque. La scansion régulière et attendue permet en effet une grande liberté et une grande diversité de ton entre les différents titres. Une fois embarqué, on a envie d’aller au bout des étapes du voyage, même si parfois l’on est un peu balloté.
- A perte de vue…
- Quelle étrange atmosphère...
- « Quand le ciel bas et lourd... »
- L'horizon est incandescent
- Tornade
- En vrac
- Comme un puzzle
Parfois les sept instruments sonnent comme un grand orchestre, parfois l’accordéon dialogue avec un seul partenaire. A la fin, il est difficile de passer à autre chose tant les impressions restent obsédantes.
- « Sur la route des tornades… », Quanta Music, 2004, L’envers du décor distribution.
Ils sont sept musiciens :
- A. Reynard, guitare
- C. Moravia, contrebasse
- I. El Malhelkh, accordéon
- I. Spitz, oud
- K. Arnold, bendir
- S. Hamadi, percussions
- Y. Lester, saxophones
Il est difficile d’identifier un leader. Ce ne sont que dialogues à deux ou à trois : accordéon, guitare ; accordéon, contrebasse ; accordéon, oud ; accordéon, bendir, percussions ; accordéon, saxophone, contrebasse. Il est difficile également de définir le style de ce disque, où l’on entend quelque chose qui pourrait ressembler aux frémissements du « Voyage de Sahar » sur les deux premiers titres avant de recevoir en plein visage des fulgurances dignes de « Navigators » ou des délires dignes de « Pictures from the Street » pour finir dans un climat proche du dernier D. Mille, « Après la pluie ».
Les sept titres ont une durée à peu près constante : 7 :15-7 :45. Cette régularité contribue beaucoup à installer l’atmosphère du disque. La scansion régulière et attendue permet en effet une grande liberté et une grande diversité de ton entre les différents titres. Une fois embarqué, on a envie d’aller au bout des étapes du voyage, même si parfois l’on est un peu balloté.
- A perte de vue…
- Quelle étrange atmosphère...
- « Quand le ciel bas et lourd... »
- L'horizon est incandescent
- Tornade
- En vrac
- Comme un puzzle
Parfois les sept instruments sonnent comme un grand orchestre, parfois l’accordéon dialogue avec un seul partenaire. A la fin, il est difficile de passer à autre chose tant les impressions restent obsédantes.
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