dimanche 16 juillet
Deux fils rouges :
- « Moderato Mistico » : cd 3 – 3 (5 :30) et cd 5 – 8 (5 :27)
- « Los Pajaros Perdidos » : cd 3 – 10 (2 :56, J.A. Trelles, vocal) et cd 10 – 8 (3 :44, J.A. Trelles, vocal)
Est-ce un effet de halo lié à mes impressions d’hier (bandonéon / Piazzolla / romantisme), mais je trouve ces deux titres très sombres… et la voix de Trelles y contribue fortement.
Quant au cd, j’écoute le numéro 9, enregistré en direct, « Decarissimo ». Il s’agit de trois séries de prises : 1972 à Rome, 1976 à Buenos Aires et 1984 à Milan. Encore une fois, j’apprécie bien Libertango, mais aussi Escualo et Amelitango.
Le dernier des dix cds, constitué d’enregistrements en direct, comprend plusieurs titres que j’éprouve grands plaisirs à écouter : deux versions d’Adios Nonino (version électronique, 7 :41 et version « classique avec guitare », 11 :30), Bandoneon, Balada para un loco… Et trois titres qui m’étaient inconnus ou du moins que je ne reconnais pas : Revirado, Zita, Divertimento Nueve. Un équilibre (re)connu / non connu qui me satisfait.
De cette écoute systématique, je retiens les versions électroniques, le plaisir chaque fois plus intense de retrouver encore et encore des compositions et des interprétations connues (c’est comme un lin d’attachement qui se renforce d’écoute en écoute), le plaisir de saisir des différences entre des interprétations, celui d’avoir suivi plusieurs fils rouges et enfin le monde sombre de Piazzolla, monde que je qualifierais volontiers de romantique. Mais je retiens aussi l’envie de reprendre l’écoute de tel ou tel titre après un détour par d’autres morceaux d’accordéon, forcément d’accordéon.
J’ai aussi le projet de m’informer précisément sur la carrière et le parcours de Piazzolla, car j’aimerais donner plus de sens aux dates, aux lieux d’enregistrements et aux formations qui constituent le coffret qui m’a fourni matière à ces derniers jours d’écoute. J’aimerais aussi approfondir la place de cette période dans le monde de Piazzolla, période d’une quinzaine d’années, de 1968 à 1984, pour mieux comprendre comment il se situe dans ce moment très important du point de vue de l’histoire générale et artistique du XXe siècle. Pourquoi par exemple tant d’enregistrements réalisés en Europe ? C’est un chantier…
- « Moderato Mistico » : cd 3 – 3 (5 :30) et cd 5 – 8 (5 :27)
- « Los Pajaros Perdidos » : cd 3 – 10 (2 :56, J.A. Trelles, vocal) et cd 10 – 8 (3 :44, J.A. Trelles, vocal)
Est-ce un effet de halo lié à mes impressions d’hier (bandonéon / Piazzolla / romantisme), mais je trouve ces deux titres très sombres… et la voix de Trelles y contribue fortement.
Quant au cd, j’écoute le numéro 9, enregistré en direct, « Decarissimo ». Il s’agit de trois séries de prises : 1972 à Rome, 1976 à Buenos Aires et 1984 à Milan. Encore une fois, j’apprécie bien Libertango, mais aussi Escualo et Amelitango.
Le dernier des dix cds, constitué d’enregistrements en direct, comprend plusieurs titres que j’éprouve grands plaisirs à écouter : deux versions d’Adios Nonino (version électronique, 7 :41 et version « classique avec guitare », 11 :30), Bandoneon, Balada para un loco… Et trois titres qui m’étaient inconnus ou du moins que je ne reconnais pas : Revirado, Zita, Divertimento Nueve. Un équilibre (re)connu / non connu qui me satisfait.
De cette écoute systématique, je retiens les versions électroniques, le plaisir chaque fois plus intense de retrouver encore et encore des compositions et des interprétations connues (c’est comme un lin d’attachement qui se renforce d’écoute en écoute), le plaisir de saisir des différences entre des interprétations, celui d’avoir suivi plusieurs fils rouges et enfin le monde sombre de Piazzolla, monde que je qualifierais volontiers de romantique. Mais je retiens aussi l’envie de reprendre l’écoute de tel ou tel titre après un détour par d’autres morceaux d’accordéon, forcément d’accordéon.
J’ai aussi le projet de m’informer précisément sur la carrière et le parcours de Piazzolla, car j’aimerais donner plus de sens aux dates, aux lieux d’enregistrements et aux formations qui constituent le coffret qui m’a fourni matière à ces derniers jours d’écoute. J’aimerais aussi approfondir la place de cette période dans le monde de Piazzolla, période d’une quinzaine d’années, de 1968 à 1984, pour mieux comprendre comment il se situe dans ce moment très important du point de vue de l’histoire générale et artistique du XXe siècle. Pourquoi par exemple tant d’enregistrements réalisés en Europe ? C’est un chantier…
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