mercredi, juillet 12, 2006

jeudi 13 juillet

Comme j’ai dû rester à Pau hier soir, j’ai décidé d’écouter deux fils rouges :

Adios Nonino, dont le coffret contient trois versions :

- cd 10 – 4 (7 : 41). Enregistrement en direct. Ni date, ni lieu. Astor Piazzolla, lead bandoneon, conjunto electronico ; H. Malvicinio, electronic guitar ; J. C. Cirigliano, piano ; A. Cevasco, electronic bass ; S. Giaccobbe, organ ; E. Roizner, percussion ; D. Piazzolla, synthesizer & percussion ; A. Schneider, saxophone & flute ; (J.A. Trelles, vocal).
- cd 3 – 4 (8 : 00). 1974, Buenos Aires. A. Piazzolla, lead bandoneon ; A. Schneider, sax contralto ; Noneto electronico
- cd 2 – 5 (7 : 59). 1968, Buenos Aires. A. Piazzolla, bandoneon ; J. Gosis, piano ; A. Agri, violon ; H. Baralis, violon ; V. Pontino, violoncelle ; N. Panik, viola ; K. Diaz, contrebasse ; C. Tirao, guitare ; A. Schneider, flute ; J. Correale, percussion ; T. Bisio, harpe & xylophone et carillon.

A l’écoute de ces trois versions, par ailleurs différentes, je suis frappé par un je-ne-sais quoi d’expérimental. Comme des essais et des tentatives pour chercher une manière nouvelle de dire les choses.


D’autre part, la trilogie : Milonga del Angel, La Muerte del Angel et Resurrection del Angel.

- Milonga del Angel : cd 8 – 7 et 10 – 1
- La Muerte del Angel : 8 – 3, 8 – 8 et 9 – 14
- Resurrection del Angel : 8 – 9 et 2 – 10

Ce sont des versions enregistrées en direct. Je ne suis pas loin de penser que finalement tous les enregistrements devraient se faire en direct. Le mieux, dit on, est parfois ennemi du bien. Il y a peut-être des approximations, des hésitations ou des scories dans le direct, mais il y a la vie, la vraie respiration, la présence palpable des participants (mots que je préfère à spectateurs) et non une production in vitro.