samedi 15 juillet
Avec le cd 8, « Anos de Soledad », on entre dans les trois disques enregistrés en direct, dont j’ai dit à plusieurs reprises, je crois, combien je les apprécie.
Ce disque comprend la Suite del Angel, mais j’en retiens essentiellement le morceau qui donne son nom au cd lui-même. Il dure 4 :44. On a déjà rencontré la formation qui l’interprète ; j’ai une affection particulière pour celle-ci ; je la rappelle ici : Astor Piazzolla, lead bandoneon, conjunto electronico ; H. Malvicinio, electronic guitar ; J. C. Cirigliano, piano ; A. Cevasco, electronic bass ; S. Giaccobbe, organ ; E. Roizner, percussion ; D. Piazzolla, synthesizer & percussion ; A. Schneider, saxophone & flute ; (J.A. Trelles, vocal).
La couleur est vraiment très électronique et donne un charme très particulier à ces « Anos de Soledad ». Une idée me vient en même temps, comme une évidence, que je ne saurais clairement argumenter, mais qui s’impose à moi : je ne sais quel était le comportement psychologique et social de Piazzolla, mais à l’écouter il ne donne pas l’impression d’un joyeux drille. On a plutôt l’impression d’un monde tourmenté : violet plutôt qu’orange, rouge plutôt que bleu, noir plutôt que blanc… Le bandonéon n’est décidément pas l’instrument de la gaudriole et de la franche rigolade. C’est plutôt des tourments de l’âme qu’il s’agit. Le bandonéon, instrument romantique ! Piazzolla, une expression du romantisme !
Par association d’idée autour du romantisme, je pense à un titre étrange du cd 6 : Oda para un Hippie… Enregistré à Rome en 1972.
Ce disque comprend la Suite del Angel, mais j’en retiens essentiellement le morceau qui donne son nom au cd lui-même. Il dure 4 :44. On a déjà rencontré la formation qui l’interprète ; j’ai une affection particulière pour celle-ci ; je la rappelle ici : Astor Piazzolla, lead bandoneon, conjunto electronico ; H. Malvicinio, electronic guitar ; J. C. Cirigliano, piano ; A. Cevasco, electronic bass ; S. Giaccobbe, organ ; E. Roizner, percussion ; D. Piazzolla, synthesizer & percussion ; A. Schneider, saxophone & flute ; (J.A. Trelles, vocal).
La couleur est vraiment très électronique et donne un charme très particulier à ces « Anos de Soledad ». Une idée me vient en même temps, comme une évidence, que je ne saurais clairement argumenter, mais qui s’impose à moi : je ne sais quel était le comportement psychologique et social de Piazzolla, mais à l’écouter il ne donne pas l’impression d’un joyeux drille. On a plutôt l’impression d’un monde tourmenté : violet plutôt qu’orange, rouge plutôt que bleu, noir plutôt que blanc… Le bandonéon n’est décidément pas l’instrument de la gaudriole et de la franche rigolade. C’est plutôt des tourments de l’âme qu’il s’agit. Le bandonéon, instrument romantique ! Piazzolla, une expression du romantisme !
Par association d’idée autour du romantisme, je pense à un titre étrange du cd 6 : Oda para un Hippie… Enregistré à Rome en 1972.
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