lundi 24 juillet
Bon, c’est sûr, c’est la canicule : 38° dans l’après-midi, 25° la nuit. Pas un souffle d’air. Heureusement, pas d’interdiction d’arroser. Ce qui reste du jardin de curé boit toute l’eau qu’on lui donne, idem pour l’olivier et les herbes qu’il abrite, idem pour les lauriers roses et rouges, idem pour les glycines qui semblent en pleine forme dans ce monde desséché. Dès que le soleil a disparu à l’horizon, on arrose à tout va. A défaut de faire baisser la température autour de la maison, on débusque des odeurs sucrées.
Ce matin, on a suivi le conseil de la météo : réfugiez-vous dans les grandes surfaces climatisées, si vous ne pouvez squatter un distributeur de boissons réfrigérées, ce qui est en effet assez difficile et qui a peu de chance d’échapper au regard professionnel des vigiles. On a passé quasiment une heure dans la cave à vins à choisir trois bouteilles pour l’apéritif que DO, en vacances dans la région, vient prendre avec nous demain soir. Finalement, on a arrêté notre choix sur un Madiran, château Bouscassé 2001, un blanc sec Pacherenc du Vic-Bilh, Domaine Laougué 2004, et un blanc doux de même origine 2003. Canapés de foie gras, chiffonnade de jambon noir des Aldudes, saucisson béarnais, tomates grelots, melon, vache et brebis de la vallée d’Aspe, russe de chez Thibaud et salade de fruits : abricots du Roussillon, pèches et nectarines blanches. Eau minérale d’Ogeu à volonté.
De 14 à 16 heures, séance de révision chez le dentiste. Anesthésie locale : trois heures la gueule en biais et la mâchoire tétanisée jusqu’aux oreilles. Mon dentiste est un passionné de musique classique : il essaie d’harmoniser le son des roulettes avec la musique de Mozart. Mais je n’avais pas l’esprit assez détendu pour apprécier ses efforts à leur juste valeur.
Au retour à la maison, j’ai une envie irrépressible de retour aux sources…
- « Balajo », Jo Privat, Productions WH Records, 2001
- Le blues du musette (swing rock), 2:33
- Ca balance (valse), 3:00
- Souvenir de Django (valse), 3:03
- El Conquistador (paso-doble), 2:55
- Viva Pancho (tango), 3:25
- Besame mucho (boléro), 3:00
- C’est un mauvais garçon (java), 2 :33
- Accordéon tzigane…4 :17
Huit titres sur les dix-sept de l’album, je me garde une poire pour la soif.
Ce matin, on a suivi le conseil de la météo : réfugiez-vous dans les grandes surfaces climatisées, si vous ne pouvez squatter un distributeur de boissons réfrigérées, ce qui est en effet assez difficile et qui a peu de chance d’échapper au regard professionnel des vigiles. On a passé quasiment une heure dans la cave à vins à choisir trois bouteilles pour l’apéritif que DO, en vacances dans la région, vient prendre avec nous demain soir. Finalement, on a arrêté notre choix sur un Madiran, château Bouscassé 2001, un blanc sec Pacherenc du Vic-Bilh, Domaine Laougué 2004, et un blanc doux de même origine 2003. Canapés de foie gras, chiffonnade de jambon noir des Aldudes, saucisson béarnais, tomates grelots, melon, vache et brebis de la vallée d’Aspe, russe de chez Thibaud et salade de fruits : abricots du Roussillon, pèches et nectarines blanches. Eau minérale d’Ogeu à volonté.
De 14 à 16 heures, séance de révision chez le dentiste. Anesthésie locale : trois heures la gueule en biais et la mâchoire tétanisée jusqu’aux oreilles. Mon dentiste est un passionné de musique classique : il essaie d’harmoniser le son des roulettes avec la musique de Mozart. Mais je n’avais pas l’esprit assez détendu pour apprécier ses efforts à leur juste valeur.
Au retour à la maison, j’ai une envie irrépressible de retour aux sources…
- « Balajo », Jo Privat, Productions WH Records, 2001
- Le blues du musette (swing rock), 2:33
- Ca balance (valse), 3:00
- Souvenir de Django (valse), 3:03
- El Conquistador (paso-doble), 2:55
- Viva Pancho (tango), 3:25
- Besame mucho (boléro), 3:00
- C’est un mauvais garçon (java), 2 :33
- Accordéon tzigane…4 :17
Huit titres sur les dix-sept de l’album, je me garde une poire pour la soif.
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