jeudi, juillet 27, 2006

mardi 25 juillet

Dominique O. est venu à la maison prendre l’apéritif. Comme il est parisien et plutôt du Nord de la Loire, j’ai profité de l’occasion pour lui faire découvrir le Pacherenc du Vic-Bilh (Domaine Laougué) et le Madiran de Bouscassé. Le blanc sec avec des canapés de Tarama, quelques carottes et du céleri en bâtonnets, et des tomates grelots ; le rouge avec le melon et la chiffonnade de jambon ; le blanc doux avec le foie gras et in fine le russe. Tout cela l’a enchanté. Un verre d’Ogeu sur la salade de fruits. Pas de café, mais une 33cl, Leffe brune 6°5, pour la route. Tout ça nous mène à 2h du matin. On lui trace la route jusqu’à la sortie de Pau vers sa résidence de vacances. Retour à la maison : vaisselle, coup de balai… 3h40. On découvre alors qu’il fait vraiment trop chaud pour espérer pouvoir dormir.

Une soirée très agréable où nous avons parlé de choses et d’autres, et en particulier de jazz. Au cours de notre conversation, il évoque André Hodeir. Je me rappelle alors avoir un livre de cet excellent théoricien et compositeur. Je le retrouve pour séparer une rangée de Verve d’une rangée de Savoy. Je l’avais oublié.

- Hodeir André, Hommes et Problèmes du Jazz, Au Portulan chez Flammarion, 1954.

Dominique O. me signale, partie IV, Le problème de l’essence du jazz, le chapitre XII, Le phénomène du swing. Page 238, on lit ceci : « On verra que la réunion des cinq conditions énumérées est indispensable à une manifestation satisfaisante du phénomène ». Evidemment, ça donne envie de lire. J’y reviendrai…